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Une jeune femme a été victime d'une tentative de viol sur le RER C. Selon les témoignages, l'agresseur était connu des deux victimes, qui ont déjà reconnu sa photo.
Le 20 septembre dernier, Jhordana, une jeune femme de 22 ans, avait été attaquée par un homme qui s'était approché d'elle dans le train. Selon ses propres mots, "je voyais sa bouche, ses mains qui la touchaient" et il lui a fait des attouchements, une gifle et des griffures. La jeune femme a été sauvée par une passagère, Marguerite, qui a intervenu juste à temps pour empêcher l'agression.
Mais le plus choquant est que Jhordana ne s'est pas sentie en sécurité dans son propre corps. Elle a subi des attouchements physiques et les mots de l'agresseur sont encore gravés dans sa mémoire : "Je te regarde". Selon ses propres mots, "c'est inconcevable de ne rien faire".
Pendant ce temps, une autre jeune femme, Marie, avait déjà vécu une expérience similaire. Trois jours avant la tentative de viol de Jhordana, il était monté dans le même RER C où elle se trouvait. Selon ses propres mots, "il me touchait à travers mon jogging" et il semblait avoir l'intention de l'aggraver.
Une femme de 58 ans, Martine, a également reconnu cet homme. Selon sa fille, Martine l'avait déjà croisée dans le RER C et que l'homme se était masturbé devant elle. La fille d'une de ces femmes, Sarah, raconte qu'elle avait été au téléphone avec son maman lorsqu'elle a vu l'homme la regarder.
Avec les vidéos circulant sur les réseaux sociaux, toutes deux ont décidé de ne pas porter plainte... à moins que cela ne change pour elles.
Le 20 septembre dernier, Jhordana, une jeune femme de 22 ans, avait été attaquée par un homme qui s'était approché d'elle dans le train. Selon ses propres mots, "je voyais sa bouche, ses mains qui la touchaient" et il lui a fait des attouchements, une gifle et des griffures. La jeune femme a été sauvée par une passagère, Marguerite, qui a intervenu juste à temps pour empêcher l'agression.
Mais le plus choquant est que Jhordana ne s'est pas sentie en sécurité dans son propre corps. Elle a subi des attouchements physiques et les mots de l'agresseur sont encore gravés dans sa mémoire : "Je te regarde". Selon ses propres mots, "c'est inconcevable de ne rien faire".
Pendant ce temps, une autre jeune femme, Marie, avait déjà vécu une expérience similaire. Trois jours avant la tentative de viol de Jhordana, il était monté dans le même RER C où elle se trouvait. Selon ses propres mots, "il me touchait à travers mon jogging" et il semblait avoir l'intention de l'aggraver.
Une femme de 58 ans, Martine, a également reconnu cet homme. Selon sa fille, Martine l'avait déjà croisée dans le RER C et que l'homme se était masturbé devant elle. La fille d'une de ces femmes, Sarah, raconte qu'elle avait été au téléphone avec son maman lorsqu'elle a vu l'homme la regarder.
Avec les vidéos circulant sur les réseaux sociaux, toutes deux ont décidé de ne pas porter plainte... à moins que cela ne change pour elles.