Une industrie en croissance, mais sous un jour sombre : le marché noir des greffes de barbe se développe. Les Turques, comme partout ailleurs, ne sont pas exemptes de cette tendance alarmante.
Selon Spencer Stevenson, alias Spex, spécialiste du net, ce secteur est un "far west" en termes de réglementation et de transparence. Cette déclaration laisse entrevoir une industrie floue, où les règles sont souvent ignorées ou manipulées pour maximiser les profits.
Le domaine de la greffe de barbe est en constante évolution, avec des avancées technologiques et médicales qui permettent aux chirurgiens de restaurer avec plus de précision les cheveux disparus. Mais ce progrès coûte cher. Des millions d'Europeens, notamment des Turques, portent leurs cheveux artificiels chaque jour pour cacher leur trousseau de cicatrices laissées par la chirurgie.
Les spécialistes estiment que le marché noir des greffes de barbe est en plein essor, avec des milliers d'opérations illégales effectuées chaque année. Les patients sont souvent victimes de mauvaises prises de risques, des infections et des complications graves qui peuvent avoir des conséquences dévastatrices.
Les chiffres sont étonnants : selon les experts, seules 2 % des greffes de barbe sont effectuées avec un protocole standardisé. Les autres doivent être effectuées à l'aise du chirurgien ou d'un praticien non agréé. C'est une situation inacceptable qui menace la santé et la vie de ceux qui souscrivent à ce service.
L'Istanbulnaine Özlem Biçer, spécialiste en restauration capillaire depuis 1998, déplore le fait que "des gens mal formés font de l'argent sur le dos des patients". Elle estime que les patients sont souvent victimes d'une négligence inacceptable, car ils ne sont pas informés avec suffisamment de précision sur les risques associés à ces interventions.
Il est urgent de réglementer ce secteur pour protéger les consommateurs. Les autorités doivent prendre des mesures pour prévenir le marché noir et garantir que les chirurgiens respectent les normes de la profession.
Selon Spencer Stevenson, alias Spex, spécialiste du net, ce secteur est un "far west" en termes de réglementation et de transparence. Cette déclaration laisse entrevoir une industrie floue, où les règles sont souvent ignorées ou manipulées pour maximiser les profits.
Le domaine de la greffe de barbe est en constante évolution, avec des avancées technologiques et médicales qui permettent aux chirurgiens de restaurer avec plus de précision les cheveux disparus. Mais ce progrès coûte cher. Des millions d'Europeens, notamment des Turques, portent leurs cheveux artificiels chaque jour pour cacher leur trousseau de cicatrices laissées par la chirurgie.
Les spécialistes estiment que le marché noir des greffes de barbe est en plein essor, avec des milliers d'opérations illégales effectuées chaque année. Les patients sont souvent victimes de mauvaises prises de risques, des infections et des complications graves qui peuvent avoir des conséquences dévastatrices.
Les chiffres sont étonnants : selon les experts, seules 2 % des greffes de barbe sont effectuées avec un protocole standardisé. Les autres doivent être effectuées à l'aise du chirurgien ou d'un praticien non agréé. C'est une situation inacceptable qui menace la santé et la vie de ceux qui souscrivent à ce service.
L'Istanbulnaine Özlem Biçer, spécialiste en restauration capillaire depuis 1998, déplore le fait que "des gens mal formés font de l'argent sur le dos des patients". Elle estime que les patients sont souvent victimes d'une négligence inacceptable, car ils ne sont pas informés avec suffisamment de précision sur les risques associés à ces interventions.
Il est urgent de réglementer ce secteur pour protéger les consommateurs. Les autorités doivent prendre des mesures pour prévenir le marché noir et garantir que les chirurgiens respectent les normes de la profession.