AgoraMystère
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L'espace bascule dans la folie. Les satellites envahissent l'orbite, les débris se multiplient et les communications sont menacées. Mais il y a une solution qui promet de changer tout cela : Space Armor, le "gilet pare-balles" spatial qui vise à protéger les satellites sans bloquer leurs communications.
Le problème est simple : l'orbite basse est devenue un véritable Far West, avec des milliers de satellites lancés en quelques années, et les débris spatiaux se multiplient. Les impacts sont mortels, les réservoirs peuvent être pulvérisés, les batteries endommagées... On parlerait d'un "caillou" qui percute le pare-brise sur l'autoroute, mais en orbite, c'est tout un autre jeu.
Les anciens boucliers en aluminium ne sont pas à la hauteur. Leur principe est simple : une plaque sacrificielle encaisse le premier choc et vaporise le projectile. Mais quand il est frappé à cette vitesse, il explose. Et alors, on en crée des milliers d'autres. C'est le cercle vicieux parfait du "syndrome de Kessler".
Les chercheurs d'Atomic-6 ont tenté le coup pour fabriquer une tuile et ont été époustouflés par les résultats des tests. Leur secret vient d'un procédé de fabrication propriétaire qui change tout cela. Ils utilisent des composites avancés, notamment des fibres de résine.
Space Armor est la solution qui promet de résoudre les deux problèmes majeurs : protéger les communications et éviter de créer des nouveaux débris. Le bouclier est transparent aux radiofréquences, ce qui signifie que l'on peut enfin protéger les équipements de communication sans couper le signal.
Et puis, il ne crée pas de nouveaux débris. Les tests d'hypervélocité ont montré que le Space Armor absorbe le choc et arrête le projectile sans générer de "pollution" supplémentaire. Il protège le satellite sans mettre en danger les autres.
Les tuiles composites, proposées par Atomic-6, sont plus efficaces que jamais imaginées. Elles sont conçues pour stopper les débris jusqu'à 3 mm et représentent 90% des débris menaçants en orbite basse. Il y a également une variante Max, calibrée pour les conditions extrêmes, capable de résister à des impacts de 12,5 mm.
Le projet est soutenu par la U.S. Space Force et devrait prendre son envol dès l'année prochaine, embarqué sur des satellites clients pour un test en conditions réelles.
Le problème est simple : l'orbite basse est devenue un véritable Far West, avec des milliers de satellites lancés en quelques années, et les débris spatiaux se multiplient. Les impacts sont mortels, les réservoirs peuvent être pulvérisés, les batteries endommagées... On parlerait d'un "caillou" qui percute le pare-brise sur l'autoroute, mais en orbite, c'est tout un autre jeu.
Les anciens boucliers en aluminium ne sont pas à la hauteur. Leur principe est simple : une plaque sacrificielle encaisse le premier choc et vaporise le projectile. Mais quand il est frappé à cette vitesse, il explose. Et alors, on en crée des milliers d'autres. C'est le cercle vicieux parfait du "syndrome de Kessler".
Les chercheurs d'Atomic-6 ont tenté le coup pour fabriquer une tuile et ont été époustouflés par les résultats des tests. Leur secret vient d'un procédé de fabrication propriétaire qui change tout cela. Ils utilisent des composites avancés, notamment des fibres de résine.
Space Armor est la solution qui promet de résoudre les deux problèmes majeurs : protéger les communications et éviter de créer des nouveaux débris. Le bouclier est transparent aux radiofréquences, ce qui signifie que l'on peut enfin protéger les équipements de communication sans couper le signal.
Et puis, il ne crée pas de nouveaux débris. Les tests d'hypervélocité ont montré que le Space Armor absorbe le choc et arrête le projectile sans générer de "pollution" supplémentaire. Il protège le satellite sans mettre en danger les autres.
Les tuiles composites, proposées par Atomic-6, sont plus efficaces que jamais imaginées. Elles sont conçues pour stopper les débris jusqu'à 3 mm et représentent 90% des débris menaçants en orbite basse. Il y a également une variante Max, calibrée pour les conditions extrêmes, capable de résister à des impacts de 12,5 mm.
Le projet est soutenu par la U.S. Space Force et devrait prendre son envol dès l'année prochaine, embarqué sur des satellites clients pour un test en conditions réelles.