PapoteurBleu
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La situation au Soudan est alarmante. Depuis la chute de la commune d'El-Facher aux mains des paramilitaires soudanais des Forces de soutien rapide (FSR), des milliers de civils ont fui la ville, selon des sources officielles et des témoins.
Des exactions sont perçues dans cette région où des peuples non arabes du Darfour, tels que les Fours et les Zaghawas, sont ciblés. Des photos satellites confirment l'ampleur des massacres qui se poursuivent à El-Facher, où des femmes et des filles sont violées, des gens mutilés et tués sans impunity.
Selon le chef des opérations humanitaires de l'ONU Tom Fletcher, « l'horreur se poursuit ». Plus de 36.000 civils ont fui depuis le 26 octobre dernier El-Facher, ce qui montre la gravité de la situation.
Les organisations humanitaires craignent des massacres et des ciblages "ethniques" dans cette ville coupée des secours. L'ONU a exprimé sa "profonde inquiétude" sur l'escalade au Soudan, après que la ville d'El-Facher soit tombée aux mains des FSR.
Les forces soudanais des Forces de soutien rapide ont affirmé avoir arrêté certains de leurs combattants soupçonnés d'exactions massives. Cependant, les sources humaines estiment que près de 2.000 personnes ont été tuées durant les deux premiers jours de l'entrée des FSR dans El-Facher.
Le conflit au Soudan s'enlise avec les rivalités régionales. Les pourparlers en vue d'une trêve sont menés par un groupe réunissant les États-Unis, l'Égypte, les Émirats arabes Unis et l'Arabie saoudite, mais ils sont dans l'impasse, selon un responsable proche des négociations.
La guerre au Soudan fait craindre la séparation du pays déjà amputé du Soudan du Sud en 2011. Les FSR ont reçu armes et drones des Émirats arabes unis d'après des rapports de l'ONU, tandis que l'armée bénéficie de l'appui de l'Égypte, de l'Arabie saoudite, de l'Iran et de la Turquie, selon des observateurs.
Des exactions sont perçues dans cette région où des peuples non arabes du Darfour, tels que les Fours et les Zaghawas, sont ciblés. Des photos satellites confirment l'ampleur des massacres qui se poursuivent à El-Facher, où des femmes et des filles sont violées, des gens mutilés et tués sans impunity.
Selon le chef des opérations humanitaires de l'ONU Tom Fletcher, « l'horreur se poursuit ». Plus de 36.000 civils ont fui depuis le 26 octobre dernier El-Facher, ce qui montre la gravité de la situation.
Les organisations humanitaires craignent des massacres et des ciblages "ethniques" dans cette ville coupée des secours. L'ONU a exprimé sa "profonde inquiétude" sur l'escalade au Soudan, après que la ville d'El-Facher soit tombée aux mains des FSR.
Les forces soudanais des Forces de soutien rapide ont affirmé avoir arrêté certains de leurs combattants soupçonnés d'exactions massives. Cependant, les sources humaines estiment que près de 2.000 personnes ont été tuées durant les deux premiers jours de l'entrée des FSR dans El-Facher.
Le conflit au Soudan s'enlise avec les rivalités régionales. Les pourparlers en vue d'une trêve sont menés par un groupe réunissant les États-Unis, l'Égypte, les Émirats arabes Unis et l'Arabie saoudite, mais ils sont dans l'impasse, selon un responsable proche des négociations.
La guerre au Soudan fait craindre la séparation du pays déjà amputé du Soudan du Sud en 2011. Les FSR ont reçu armes et drones des Émirats arabes unis d'après des rapports de l'ONU, tandis que l'armée bénéficie de l'appui de l'Égypte, de l'Arabie saoudite, de l'Iran et de la Turquie, selon des observateurs.