La ville d'El Fasher, au cœur du Darfour, est réchappée aux flammes ce dimanche. Les paramilitaires des forces de soutien rapide ont repris le contrôle de la ville après 18 mois de siège. Mais l'horreur n'a pas fait de pausse. Les populations civiles sont massacrées, les hommes et les femmes sont pris au piège d'une fureur meurtrière.
Les témoins oculaires parlent d'une Barbarie sans limite. Des photos et vidéos circulent sur les réseaux sociaux, montrant des corps déchirés, des enfants blessés et des femmes terrorisées. L'ONU dénonce ces "atrocités effroyables" et affirme que au moins 460 personnes ont été tuées dans une maternité de la ville depuis dimanche.
Les habitants de Tawila, à 60 kilomètres d'El Fasher, ont été obligés de fuir pour échapper à ces atrocités. Ils sont pris en charge par plusieurs ONG qui témoignent des scènes de violence extrêmes. "Ces récits de massacres, de viols et de tortures sont vraiment catastrophiques", a déclaré Claire San Filippo, responsable des urgences chez Médecins sans frontières.
Les blessés par balles sont nombreux, avec des blessures anciennes qui se sont aggravées. La situation est dramatique, car de nombreux habitants semblent encore bloqués à El Fasher, vulnérables aux menaces de la violence des forces de soutien rapide. Ce massacre a suscité l'indignation de la communauté internationale, qui appelle à une intervention immédiate pour mettre fin à cette barbarie sans limite.
Les témoins oculaires parlent d'une Barbarie sans limite. Des photos et vidéos circulent sur les réseaux sociaux, montrant des corps déchirés, des enfants blessés et des femmes terrorisées. L'ONU dénonce ces "atrocités effroyables" et affirme que au moins 460 personnes ont été tuées dans une maternité de la ville depuis dimanche.
Les habitants de Tawila, à 60 kilomètres d'El Fasher, ont été obligés de fuir pour échapper à ces atrocités. Ils sont pris en charge par plusieurs ONG qui témoignent des scènes de violence extrêmes. "Ces récits de massacres, de viols et de tortures sont vraiment catastrophiques", a déclaré Claire San Filippo, responsable des urgences chez Médecins sans frontières.
Les blessés par balles sont nombreux, avec des blessures anciennes qui se sont aggravées. La situation est dramatique, car de nombreux habitants semblent encore bloqués à El Fasher, vulnérables aux menaces de la violence des forces de soutien rapide. Ce massacre a suscité l'indignation de la communauté internationale, qui appelle à une intervention immédiate pour mettre fin à cette barbarie sans limite.