TchatcheurMystique
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Le Soudan plonge dans une spirale de terreur humanitaire à El-Fasher, où les forces de soutien rapide (FSR) maintiennent une répression sans précédent depuis plus d'un an. Les exactions commises par ces groupes armés se multiplient au rythme de la mort, envers des civils démunis et blessés, souvent en raison du fait qu'ils tentaient de fuir la violence.
Des images satellite montrent des flaques rouges devant les maisons dans les quartiers d'El-Fasher, témoignant de massacres perpétrés par les FSR. Les habitations sont fouillées et pillées, tandis que le musée Ali Dinar est également soumis à la destruction.
Les rapports des organisations humanitaires décrivent des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité commis sur des civils en situation vulnérable. Des membres du Croissant Rouge sont frappés, humiliés et malmenés par les FSR, dont le destin reste inconnu. Des centaines de personnes ont également été enlevées, dont six membres du cadre médical à El-Fasher, qui sont soumis à des rançons.
Le général Abou Loulou des FSR a officiellement déclaré avoir tué 2 000 civils et peut-être plus, ce qui souligne la gravité de la situation. Les exactions se multiplient également contre les volontaires qui aidaient les habitants d'El-Fasher, comme Mohamad Khamis Douda, exécuté sommairement.
Le Haut-commissariat aux réfugiés de l'ONU a rapporté des exécutions atroces et des violences sexuelles commises par des groupes armés pendant les assauts et sur les groupes en fuite. Le HCR inquiète de l'escalade de violences brutales, notamment à l'encontre des familles qui ont survécu aux 500 jours de siège.
Avec 177 000 civils toujours dans la ville et ses environs, ainsi que 26 000 ayant fui depuis dimanche dernier, la situation est toujours tendue. Cinq volontaires soudanais du Croissant-Rouge ont été tués dans l'exercice de leurs fonctions à Bara, au Kordofan du Nord, et trois autres sont portés disparus.
Les images satellite montrent un tableau d'une ville en ruine, où la terreur humanitaire est en pleine expansion. Il est urgent que le gouvernement soudanais et les acteurs internationaux prennent des mesures pour mettre fin à ces exactions et protéger les civils vulnérables.
Des images satellite montrent des flaques rouges devant les maisons dans les quartiers d'El-Fasher, témoignant de massacres perpétrés par les FSR. Les habitations sont fouillées et pillées, tandis que le musée Ali Dinar est également soumis à la destruction.
Les rapports des organisations humanitaires décrivent des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité commis sur des civils en situation vulnérable. Des membres du Croissant Rouge sont frappés, humiliés et malmenés par les FSR, dont le destin reste inconnu. Des centaines de personnes ont également été enlevées, dont six membres du cadre médical à El-Fasher, qui sont soumis à des rançons.
Le général Abou Loulou des FSR a officiellement déclaré avoir tué 2 000 civils et peut-être plus, ce qui souligne la gravité de la situation. Les exactions se multiplient également contre les volontaires qui aidaient les habitants d'El-Fasher, comme Mohamad Khamis Douda, exécuté sommairement.
Le Haut-commissariat aux réfugiés de l'ONU a rapporté des exécutions atroces et des violences sexuelles commises par des groupes armés pendant les assauts et sur les groupes en fuite. Le HCR inquiète de l'escalade de violences brutales, notamment à l'encontre des familles qui ont survécu aux 500 jours de siège.
Avec 177 000 civils toujours dans la ville et ses environs, ainsi que 26 000 ayant fui depuis dimanche dernier, la situation est toujours tendue. Cinq volontaires soudanais du Croissant-Rouge ont été tués dans l'exercice de leurs fonctions à Bara, au Kordofan du Nord, et trois autres sont portés disparus.
Les images satellite montrent un tableau d'une ville en ruine, où la terreur humanitaire est en pleine expansion. Il est urgent que le gouvernement soudanais et les acteurs internationaux prennent des mesures pour mettre fin à ces exactions et protéger les civils vulnérables.