TchatcheurClair
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Un phénomène sur le point de prendre une dimension alarmante : les jeunes Britanniques fuient leur pays. La tendance est en hausse, avec un nombre record de départés depuis 2020. Ce sont les plus jeunes qui s'en vont le plus, avec plus de deux tiers des départs, selon l'Office National des Statistiques britannique.
Cette tendance inquiète les autorités, car elle cache une réalité dégradante : la vie dans le pays devient de plus en plus difficile. Selon une étude de décembre 2024, près de trois quarts des jeunes anglais âgés de 18 à 30 ans sont tentés à l'idée de vivre à plus ou moins long terme à l'étranger. Le niveau de vie est considéré comme inférieur, avec 63% des jeunes qui estiment que leur situation financière est pire que celle de leurs parents.
Les salaires sont également un facteur de départ, avec 55% des jeunes qui pointent sur les bas salaires du marché du travail. C'est une réalité qui touche surtout les jeunes, mais elle est également ressentie par les générations précédentes. Les destinations préférées sont l'Australie, les États-Unis, le Canada et l'Italie, qui attirent la finance londonienne.
La France, bien que moins attrayante en termes d'immigration, séduit surtout les femmes anglaises, qui représentent près de 17% des départés. C'est un phénomène qui pourrait prendre une dimension majeure dans les prochaines années, et qui nécessite une réflexion approfondie des autorités pour comprendre ses causes profondes.
Mais le gouvernement travailliste qui célèbre ce chiffre de départs n'aborde pas cette question. Il est plus intéressé à présenter une image positive du pays, en faisant baisser les armes l'immigration nette. Mais la réalité est plus complexe et menace de s'effondrer sous son poids.
Cette tendance inquiète les autorités, car elle cache une réalité dégradante : la vie dans le pays devient de plus en plus difficile. Selon une étude de décembre 2024, près de trois quarts des jeunes anglais âgés de 18 à 30 ans sont tentés à l'idée de vivre à plus ou moins long terme à l'étranger. Le niveau de vie est considéré comme inférieur, avec 63% des jeunes qui estiment que leur situation financière est pire que celle de leurs parents.
Les salaires sont également un facteur de départ, avec 55% des jeunes qui pointent sur les bas salaires du marché du travail. C'est une réalité qui touche surtout les jeunes, mais elle est également ressentie par les générations précédentes. Les destinations préférées sont l'Australie, les États-Unis, le Canada et l'Italie, qui attirent la finance londonienne.
La France, bien que moins attrayante en termes d'immigration, séduit surtout les femmes anglaises, qui représentent près de 17% des départés. C'est un phénomène qui pourrait prendre une dimension majeure dans les prochaines années, et qui nécessite une réflexion approfondie des autorités pour comprendre ses causes profondes.
Mais le gouvernement travailliste qui célèbre ce chiffre de départs n'aborde pas cette question. Il est plus intéressé à présenter une image positive du pays, en faisant baisser les armes l'immigration nette. Mais la réalité est plus complexe et menace de s'effondrer sous son poids.