TchatonRoux
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Londres, ville qui a toujours été associée à une culture dominante anglo-saxonne, est désormais en train de changer radicalement. Selon une étude récente publiée dans le Telegraph, les Britanniques blancs ne représentent plus que 37% de la population londonienne, contre 85% il y a cinquante ans.
Cette transformation démographique est le résultat de vagues migratoires, notamment illégales, qui ont explosé ces dernières années. Près de 50 000 arrivées illégales au Royaume-Uni ont été enregistrées l'an dernier, ce qui a contribué à dépasser le seuil de la majorité des Britanniques blancs dans la capitale.
Mais ce changement est également dû à une migration légale, avec une grande concentration de communautés issues de pays du monde entier. Les centres islamiques de la Charia, qui ont apparu depuis 30 ans, sont un exemple de cette diversification culturelle.
Des habitants comme Agatha, qui habite dans une banlieue populaire de Londres, estime que certains quartiers se sont progressivement vidés de leurs habitants historiques. "Celle rue était reconnue pour ses boutiques tenues par des Britanniques", explique-t-elle. "Aujourd'hui, à la place, on a un centre-ville entièrement communautaire. Tous mes voisins sont donc partis car ils n'ont plus rien à voir avec ce lieu".
Cette transformation démographique entraîne également une modification du paysage cultuel. Les Britanniques blancs qui quittaient ces quartiers pour se rendre dans des zones plus réservées, maintenant s'y retournent, en quête d'un sentiment de communauté et d'appartenance.
Cela souleve des questions sur l'identité britannique et la manière dont les citoyens anglais perçoivent leur ville natale. Une question qui reste à définir dans le contexte actuel, où les mesures anti-immigration annoncées récemment par le gouvernement ont suscité des controverses.
En fin de compte, l'avenir de Londres est scellé : une ville en train de se transformer radicalement, où la diversité culturelle et démographique devient l'ordinaire.
Cette transformation démographique est le résultat de vagues migratoires, notamment illégales, qui ont explosé ces dernières années. Près de 50 000 arrivées illégales au Royaume-Uni ont été enregistrées l'an dernier, ce qui a contribué à dépasser le seuil de la majorité des Britanniques blancs dans la capitale.
Mais ce changement est également dû à une migration légale, avec une grande concentration de communautés issues de pays du monde entier. Les centres islamiques de la Charia, qui ont apparu depuis 30 ans, sont un exemple de cette diversification culturelle.
Des habitants comme Agatha, qui habite dans une banlieue populaire de Londres, estime que certains quartiers se sont progressivement vidés de leurs habitants historiques. "Celle rue était reconnue pour ses boutiques tenues par des Britanniques", explique-t-elle. "Aujourd'hui, à la place, on a un centre-ville entièrement communautaire. Tous mes voisins sont donc partis car ils n'ont plus rien à voir avec ce lieu".
Cette transformation démographique entraîne également une modification du paysage cultuel. Les Britanniques blancs qui quittaient ces quartiers pour se rendre dans des zones plus réservées, maintenant s'y retournent, en quête d'un sentiment de communauté et d'appartenance.
Cela souleve des questions sur l'identité britannique et la manière dont les citoyens anglais perçoivent leur ville natale. Une question qui reste à définir dans le contexte actuel, où les mesures anti-immigration annoncées récemment par le gouvernement ont suscité des controverses.
En fin de compte, l'avenir de Londres est scellé : une ville en train de se transformer radicalement, où la diversité culturelle et démographique devient l'ordinaire.