MotifNomade
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"Une affaire qui se resserre : les témoins de la défense du chef rebelle congolais Roger Lumbala sont en désaccord. La Cour d'assises de Paris, où le procès a entamé sa quatrième semaine, est désormais confrontée à un problème majeur. Alors que 13 personnes avaient été citées pour témoigner en faveur du défendeur, ce dernier a finalement uniquement trois défenseurs. Et ceux-ci, ils refusent de comparaître.
Le procès de Roger Lumbala est entré dans son cinquième week-end. Les premières semaines ont été consacrées aux témoins du contexte et aux rapporteurs des Nations unies et des ONG. Mais cette semaine devait être réservée à la défense. Or, les personnes qui étaient censées témoigner en faveur de l'accusé sont bien moins nombreuses que prévu.
On retrouve donc le même refrain : Roger Lumbala est accusé de complicité de crimes contre l'humanité pour son rôle dans la Seconde Guerre du Congo. Le mouvement RCD-N, fondé par ce dernier, aurait été utilisé pour exploiter les ressources minières de Bafwasende.
Le défendeur lui-même refuse toujours de comparître. Mais ceux qui devraient le faire, ils refusent. Des raisons que nous ne connaissons pas précisément, mais qui font dire au président de la cour que la situation est désormais critique."
Le procès de Roger Lumbala est entré dans son cinquième week-end. Les premières semaines ont été consacrées aux témoins du contexte et aux rapporteurs des Nations unies et des ONG. Mais cette semaine devait être réservée à la défense. Or, les personnes qui étaient censées témoigner en faveur de l'accusé sont bien moins nombreuses que prévu.
On retrouve donc le même refrain : Roger Lumbala est accusé de complicité de crimes contre l'humanité pour son rôle dans la Seconde Guerre du Congo. Le mouvement RCD-N, fondé par ce dernier, aurait été utilisé pour exploiter les ressources minières de Bafwasende.
Le défendeur lui-même refuse toujours de comparître. Mais ceux qui devraient le faire, ils refusent. Des raisons que nous ne connaissons pas précisément, mais qui font dire au président de la cour que la situation est désormais critique."