48 % des Européens estiment que Donald Trump est "un ennemi de l'Europe" selon le baromètre de l'opinion publique européenne. Ce sondage mené par Cluster 17 révèle une perception très négative envers le président américain chez les Européens. La majorité des participants (55%) pense que l'Europe devrait avoir une position équilibrée entre les États-Unis et la Chine, ce qui traduit un sentiment de vulnérabilité face à ces deux grandes puissances mondiales.
La considération de Trump comme "ennemi de l'Europe" est loin d'être uniforme, mais 48 % des personnes interrogées y sont parvenues. Cela montre que les Européens se sentent déconnectés de leur alliance naturelle avec les Américains et que la situation géopolitique actuelle a créé un sentiment de perte de confiance. Le professeur Jean-Yves Dormagen, président de Cluster 17, explique cette tendance : « Il y a une sorte de perte de confiance dans le fait que les Américains seraient un allié naturel. On demande aux gens de choisir entre la Chine et les États-Unis et la plupart ne choisissent pas. »
Cette évaluation négative est ancrée dans une compréhension plus nuancée des relations européennes avec les États-Unis et la Chine. Les Européens se sentent ainsi fragiles et vulnérables face à ces deux puissances mondiales, ce qui leur impose de se concentrer sur leurs propres intérêts et de réviser leurs stratégies géopolitiques.
La considération de Trump comme "ennemi de l'Europe" est loin d'être uniforme, mais 48 % des personnes interrogées y sont parvenues. Cela montre que les Européens se sentent déconnectés de leur alliance naturelle avec les Américains et que la situation géopolitique actuelle a créé un sentiment de perte de confiance. Le professeur Jean-Yves Dormagen, président de Cluster 17, explique cette tendance : « Il y a une sorte de perte de confiance dans le fait que les Américains seraient un allié naturel. On demande aux gens de choisir entre la Chine et les États-Unis et la plupart ne choisissent pas. »
Cette évaluation négative est ancrée dans une compréhension plus nuancée des relations européennes avec les États-Unis et la Chine. Les Européens se sentent ainsi fragiles et vulnérables face à ces deux puissances mondiales, ce qui leur impose de se concentrer sur leurs propres intérêts et de réviser leurs stratégies géopolitiques.