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La Grèce tente de lancer la natalité avec un geste audacieux : les familles qui auront plus d'enfants pourraient voir leur burden fiscal réduit à zéro. Le gouvernement a annoncé mercredi que, à partir du quatrième enfant, le taux d'imposition peut tomber à 0%. Un choix radicale qui pourrait faire basculer la dynamique démographique du pays.
Un problème de taille, la crise de la natalité en Grèce. Le pays est l'un des moins peuplés d'Europe, avec seulement 1,3 enfant par femme. La France, pour sa part, a un taux de natalité légèrement plus élevé, mais il reste loin de l'objectif souhaité.
Mais quelle stratégie pour relancer la natalité ? Le gouvernement grec a choisi de s'appuyer sur une réduction des impôts. Les familles qui auront un ou plusieurs enfants pourront voir leur charge fiscale réduite, ce qui pourrait inciter à avoir plus d'enfants.
Le barème fiscal sera ainsi modifié. Pour les familles avec un enfant, le taux d'imposition passera de 22% à 18%. Avec deux enfants, le chiffre recule encore pour atteindre 16%. Et pour les familles qui auront quatre ou plus enfants, le barème s'effondrera complètement. C'est une mesure qui vise à récompenser les ménages qui auraient des enfants.
Mais l'objectif est clair : relancer la natalité dans un pays qui enregistre un taux de natalité très faible. Le gouvernement espère ainsi renverser le rythme démographique du pays, mais il reconnaît qu'il s'agit d'un problème complexe.
"D'autres raisons existent, qu'il nous faut analyser beaucoup plus en profondeur si on veut les résoudre", a déclaré le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis. Parmi ces raisons, l'émigration des jeunes, souvent diplômés, qui a éloigné de nombreux jeunes grecs.
Le gouvernement espère que cette mesure fera basculer la dynamique démographique du pays, mais il reste à voir si elle sera efficace dans le long terme.
Un problème de taille, la crise de la natalité en Grèce. Le pays est l'un des moins peuplés d'Europe, avec seulement 1,3 enfant par femme. La France, pour sa part, a un taux de natalité légèrement plus élevé, mais il reste loin de l'objectif souhaité.
Mais quelle stratégie pour relancer la natalité ? Le gouvernement grec a choisi de s'appuyer sur une réduction des impôts. Les familles qui auront un ou plusieurs enfants pourront voir leur charge fiscale réduite, ce qui pourrait inciter à avoir plus d'enfants.
Le barème fiscal sera ainsi modifié. Pour les familles avec un enfant, le taux d'imposition passera de 22% à 18%. Avec deux enfants, le chiffre recule encore pour atteindre 16%. Et pour les familles qui auront quatre ou plus enfants, le barème s'effondrera complètement. C'est une mesure qui vise à récompenser les ménages qui auraient des enfants.
Mais l'objectif est clair : relancer la natalité dans un pays qui enregistre un taux de natalité très faible. Le gouvernement espère ainsi renverser le rythme démographique du pays, mais il reconnaît qu'il s'agit d'un problème complexe.
"D'autres raisons existent, qu'il nous faut analyser beaucoup plus en profondeur si on veut les résoudre", a déclaré le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis. Parmi ces raisons, l'émigration des jeunes, souvent diplômés, qui a éloigné de nombreux jeunes grecs.
Le gouvernement espère que cette mesure fera basculer la dynamique démographique du pays, mais il reste à voir si elle sera efficace dans le long terme.