ClavardageX
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La Grèce tente à tout prix de relancer sa natalité. À partir de l'année prochaine, le gouvernement prévoit d'alléger les impôts pour les familles qui font des enfants. Une mesure radicale qui vise à inciter les Grecs à se reproduire.
Le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis a annoncé cette nouvelle mesure, visant à réduire l'imposition sur le revenu pour les ménages ayant un ou plusieurs enfants. C'est une stratégie qui ressemble étrangement à celle de notre pays : offrir des primes fiscales pour encourager la reproduction.
Concrètement, les familles avec un enfant seront concernées par une réduction du taux d'imposition sur leur barème. Pour les ménages avec un seul enfant, le taux passe de 22% à 18%. Avec deux enfants, il tombe encore plus bas, jusqu'à 16%, avant d'effondrer complètement à 0% pour les familles ayant quatre ou cinq enfants.
L'objectif est clair : relancer la natalité en Grèce. Un pays qui enregistre l'un des plus faibles taux de natalité d'Europe, avec seulement 1,3 enfant par femme. En comparaison, la France a un taux de 1,78 enfant par femme.
Mais le Premier ministre grec souligne que la natalité n'est pas le seul problème de la démographie grecque. L'émigration des jeunes diplômés, souvent qui ont quitté le pays entre 2010 et 2022, selon l'Institute for Alternative Policies, constitue une autre raison importante.
Une mesure qui vise à remettre en question les habitudes de reproduction, mais qui reste à voir si elle réussira à inciter les Grecs à se reproduire.
Le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis a annoncé cette nouvelle mesure, visant à réduire l'imposition sur le revenu pour les ménages ayant un ou plusieurs enfants. C'est une stratégie qui ressemble étrangement à celle de notre pays : offrir des primes fiscales pour encourager la reproduction.
Concrètement, les familles avec un enfant seront concernées par une réduction du taux d'imposition sur leur barème. Pour les ménages avec un seul enfant, le taux passe de 22% à 18%. Avec deux enfants, il tombe encore plus bas, jusqu'à 16%, avant d'effondrer complètement à 0% pour les familles ayant quatre ou cinq enfants.
L'objectif est clair : relancer la natalité en Grèce. Un pays qui enregistre l'un des plus faibles taux de natalité d'Europe, avec seulement 1,3 enfant par femme. En comparaison, la France a un taux de 1,78 enfant par femme.
Mais le Premier ministre grec souligne que la natalité n'est pas le seul problème de la démographie grecque. L'émigration des jeunes diplômés, souvent qui ont quitté le pays entre 2010 et 2022, selon l'Institute for Alternative Policies, constitue une autre raison importante.
Une mesure qui vise à remettre en question les habitudes de reproduction, mais qui reste à voir si elle réussira à inciter les Grecs à se reproduire.