"La Russie, un ennemi inconnu ? Philippe de Villiers défend l'inversion de la logique"
L'ancien député européen et co-fondateur du Puy du Fou, Philippe de Villiers, a livré une confrontation avec Laurence Ferrari et Sonia Mabrouk dans le deuxième numéro de "La France en Face". Face à ces journalistes, il a abordé la question du conflit entre l'Ukraine et la Russie.
"Je ne suis pas convaincu que nous devrions considérer la Russie comme notre ennemie", a-t-il affirmé. "Nous sommes en 1914, avec un enchaînement d'alliances qui pourrait nous mener à une guerre, mais nous ne sommes pas encore là". Cette position est étonnante, car il semble que l'ancien ministre ait mal compris la gravité de la situation.
"La Russie n'est pas notre ennemie, elle est à 2.500 kilomètres de chez nous, elle n'a pas l'intention d'envahir la France", a-t-il rappelé. Mais il ajoute que "la Russie est très compliquée, beaucoup plus qu'on ne le dit en France". Il évoque également la responsabilité de l'OTAN dans le conflit.
Une autre préoccupation pour Philippe de Villiers est que les dirigeants européens soient trop distraits par leurs propres préoccupations. "Normalement, la paix devrait être signée à Paris", mais il ajoute qu'il y a un "saut de mouton" entre Trump et Poutine, ce qui est une humiliation pour la France.
Ce discours de Philippe de Villiers laisse planer une ambiguïté sur son opposition à la position officielle du gouvernement français. Sa déclaration suggère qu'il pourrait être plus critique envers les décisions prises par l'OTAN et que la France devrait reprendre sa vocation de puissance d'équilibre et de contrepoids sur le plan international.
La question de savoir si Philippe de Villiers peut être un véritable opposant à la politique actuelle est encore ouverte. Sa position sur la guerre en Ukraine et son discours contre l'OTAN montrent qu'il a des idées différentes, mais il reste à voir si ces idées peuvent être mises en pratique pour changer le cours de la politique française.
L'ancien député européen et co-fondateur du Puy du Fou, Philippe de Villiers, a livré une confrontation avec Laurence Ferrari et Sonia Mabrouk dans le deuxième numéro de "La France en Face". Face à ces journalistes, il a abordé la question du conflit entre l'Ukraine et la Russie.
"Je ne suis pas convaincu que nous devrions considérer la Russie comme notre ennemie", a-t-il affirmé. "Nous sommes en 1914, avec un enchaînement d'alliances qui pourrait nous mener à une guerre, mais nous ne sommes pas encore là". Cette position est étonnante, car il semble que l'ancien ministre ait mal compris la gravité de la situation.
"La Russie n'est pas notre ennemie, elle est à 2.500 kilomètres de chez nous, elle n'a pas l'intention d'envahir la France", a-t-il rappelé. Mais il ajoute que "la Russie est très compliquée, beaucoup plus qu'on ne le dit en France". Il évoque également la responsabilité de l'OTAN dans le conflit.
Une autre préoccupation pour Philippe de Villiers est que les dirigeants européens soient trop distraits par leurs propres préoccupations. "Normalement, la paix devrait être signée à Paris", mais il ajoute qu'il y a un "saut de mouton" entre Trump et Poutine, ce qui est une humiliation pour la France.
Ce discours de Philippe de Villiers laisse planer une ambiguïté sur son opposition à la position officielle du gouvernement français. Sa déclaration suggère qu'il pourrait être plus critique envers les décisions prises par l'OTAN et que la France devrait reprendre sa vocation de puissance d'équilibre et de contrepoids sur le plan international.
La question de savoir si Philippe de Villiers peut être un véritable opposant à la politique actuelle est encore ouverte. Sa position sur la guerre en Ukraine et son discours contre l'OTAN montrent qu'il a des idées différentes, mais il reste à voir si ces idées peuvent être mises en pratique pour changer le cours de la politique française.