La guerre culturelle s'est répandue jusqu'aux détails les plus insoupçonnables, et voilà que le secrétaire d'État Marco Rubio ordonne aux diplomates de se tenir à l'écart du polissage qui fait la fierté des américains : Calibri. Ce sera désormais Times New Roman, la police de caractères qui impose son autorité à tous les documents officiels.
Cette décision est-elle une affaire de goût personnel ? Non ! C'est une politique, une décision qui découle d'une vision plus large de ce que doit être le langage officiel du département des Affaires étrangères. Marco Rubio voit dans l'utilisation de Calibri un gaspillage de temps et un manque de professionnalisme. Il suggère en creux que cela a pour effet de diminuer la crédibilité des documents écrits du département.
Mais pourquoi choisir Times New Roman ? Pour être plus accessible, plus lisible, surtout pour les personnes souffrant d'un handicap visuel. C'est cette décision qui avait été écartée par l'administration précédente sous Joe Biden, qui avait préféré Calibri pour sa facilité d'utilisation.
Et puisque la police Times New Roman a une particularité : elle ajoute ces petites extrémités typographiques que nous appelons les "empattements", c'est-à-dire des fioritures stylistiques. C'est à cette différence qui réside, entre Calibri et Times New Roman.
La guerre culturelle qui oppose progressistes et conservateurs est en train de s'étendre, même aux détails les plus insignifiants. Mais quels sont les principaux acteurs de ce conflit ? Les politiciens, bien sûr, mais aussi les entreprises, comme Microsoft, qui a abandonné Calibri dans sa suite bureautique Office.
Et comment ça va se passer maintenant ? La décision de Marco Rubio devrait être confirmée, et Times New Roman sera la police standard pour tous les documents officiels du département des Affaires étrangères. Ce sera une fin pour Calibri au sein de ce département, jusqu'à nouveau ordre.
La guerre culturelle ne semble pas vouloir se terminer !
Cette décision est-elle une affaire de goût personnel ? Non ! C'est une politique, une décision qui découle d'une vision plus large de ce que doit être le langage officiel du département des Affaires étrangères. Marco Rubio voit dans l'utilisation de Calibri un gaspillage de temps et un manque de professionnalisme. Il suggère en creux que cela a pour effet de diminuer la crédibilité des documents écrits du département.
Mais pourquoi choisir Times New Roman ? Pour être plus accessible, plus lisible, surtout pour les personnes souffrant d'un handicap visuel. C'est cette décision qui avait été écartée par l'administration précédente sous Joe Biden, qui avait préféré Calibri pour sa facilité d'utilisation.
Et puisque la police Times New Roman a une particularité : elle ajoute ces petites extrémités typographiques que nous appelons les "empattements", c'est-à-dire des fioritures stylistiques. C'est à cette différence qui réside, entre Calibri et Times New Roman.
La guerre culturelle qui oppose progressistes et conservateurs est en train de s'étendre, même aux détails les plus insignifiants. Mais quels sont les principaux acteurs de ce conflit ? Les politiciens, bien sûr, mais aussi les entreprises, comme Microsoft, qui a abandonné Calibri dans sa suite bureautique Office.
Et comment ça va se passer maintenant ? La décision de Marco Rubio devrait être confirmée, et Times New Roman sera la police standard pour tous les documents officiels du département des Affaires étrangères. Ce sera une fin pour Calibri au sein de ce département, jusqu'à nouveau ordre.
La guerre culturelle ne semble pas vouloir se terminer !