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L'attaque du Hamas et l'enfer des otages
Les jours qui viennent, après 737 longs jours d'esclavage, les otages israéliens libérés par le Hamas doivent reprendre leurs vies. C'est un moment de joie pour la famille, mais aussi une source de crainte : peut-ils se remettre du traumatisme qu'ils ont subi ?
Olivier Jaoui, cousin d'Ofer Kalderon, l'un des otages français israéliens libérés par le Hamas en février dernier, nous donne un aperçu de ce qu'il vit. Lui-même, il a connu les effets du traumatisme, après avoir été détenu pendant plusieurs mois.
"On leur a fait croire qu'ils allaient être libérés, alors que c'était pas vrai", relate-t-il à Europe 1. Une promesse faite par les islamistes pour obtenir la libération de leurs otages.
Olivier Jaoui raconte que son cousin, Ofer Kalderon, a encore beaucoup de mal à se remettre du traumatisme qu'il a subi. "Il est encore en partie dans sa tête, à Gaza", confie-t-il. Les rêves de son cousin sont souvent marqués par la ville palestinienne où il a été détenu. La nuit, il dort mal. Il a beaucoup d'inquiétudes.
"Les otages, ils ont vécu des choses incroyables", ajoute Olivier Jaoui. "Il y a eu des moments de peur extrême. Des moments où il a cru qu'il allait perdre la raison."
La famille du prisonnier s'inquiète également pour son état physique et psychologique.
"Les jours après leur libération, ils se mettent à douter de tout", précise-t-il. "Ils se posent des questions sur ce qui a pu arriver pendant leur détention. Ils ont des douleurs chroniques dans le corps."
Les jours qui viennent, après 737 longs jours d'esclavage, les otages israéliens libérés par le Hamas doivent reprendre leurs vies. C'est un moment de joie pour la famille, mais aussi une source de crainte : peut-ils se remettre du traumatisme qu'ils ont subi ?
Olivier Jaoui, cousin d'Ofer Kalderon, l'un des otages français israéliens libérés par le Hamas en février dernier, nous donne un aperçu de ce qu'il vit. Lui-même, il a connu les effets du traumatisme, après avoir été détenu pendant plusieurs mois.
"On leur a fait croire qu'ils allaient être libérés, alors que c'était pas vrai", relate-t-il à Europe 1. Une promesse faite par les islamistes pour obtenir la libération de leurs otages.
Olivier Jaoui raconte que son cousin, Ofer Kalderon, a encore beaucoup de mal à se remettre du traumatisme qu'il a subi. "Il est encore en partie dans sa tête, à Gaza", confie-t-il. Les rêves de son cousin sont souvent marqués par la ville palestinienne où il a été détenu. La nuit, il dort mal. Il a beaucoup d'inquiétudes.
"Les otages, ils ont vécu des choses incroyables", ajoute Olivier Jaoui. "Il y a eu des moments de peur extrême. Des moments où il a cru qu'il allait perdre la raison."
La famille du prisonnier s'inquiète également pour son état physique et psychologique.
"Les jours après leur libération, ils se mettent à douter de tout", précise-t-il. "Ils se posent des questions sur ce qui a pu arriver pendant leur détention. Ils ont des douleurs chroniques dans le corps."