BulleNomade
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Une bataille parlementaire intensifie la situation à l'Assemblée nationale, où les députés se disputent sur le report des élections provinciales de la Nouvelle-Calédonie. Le projet de loi en question prévoit d'introduire un "État de la Nouvelle-Calédonie" dans la Constitution et reconnaître une nationalité calédonienne, ce qui soulève l'opposition des indépendantistes.
Face au flot d'amendements déposés par les partisans du report des élections, le camp présidentiel a contre-attaqué en déposant une motion de rejet pour mettre fin à l'examen du texte. Cette décision est considérée comme un "barrage parlementaire" par les Insoumis.
Les discussions se poursuivent dans la Commission mixte paritaire (CMP), qui doit se réunir lundi 27 octobre. Les votes solennels à l'Assemblée nationale et au Sénat suivront ensuite, mais il est prévu que le report des élections soit adopté malgré les résistances du camp loyaliste.
Le débat porte sur la reconnaissance d'une nationalité calédonienne, qui sera inscrite dans la Constitution. Les partisans de ce projet affirment qu'il permettrait un "dégel" pour certains habitants, notamment ceux établis sur le territoire avant 1998 et leurs descendants.
Les communistes, les écologistes et les Insoumis craignent que le report du scrutin ne soit synonyme d'une marche vers l'accord de Bougival, qui est considéré comme une forme de compromis avec la Nouvelle-Calédonie. Les députés LR Philippe Gosselin et la députée LFI Mathilde Panot défendent leurs positions respectives.
Le processus politique semble en suspens, mais il est probable que le report des élections soit adopté dans les prochaines semaines, malgré les résistances du camp loyaliste.
Face au flot d'amendements déposés par les partisans du report des élections, le camp présidentiel a contre-attaqué en déposant une motion de rejet pour mettre fin à l'examen du texte. Cette décision est considérée comme un "barrage parlementaire" par les Insoumis.
Les discussions se poursuivent dans la Commission mixte paritaire (CMP), qui doit se réunir lundi 27 octobre. Les votes solennels à l'Assemblée nationale et au Sénat suivront ensuite, mais il est prévu que le report des élections soit adopté malgré les résistances du camp loyaliste.
Le débat porte sur la reconnaissance d'une nationalité calédonienne, qui sera inscrite dans la Constitution. Les partisans de ce projet affirment qu'il permettrait un "dégel" pour certains habitants, notamment ceux établis sur le territoire avant 1998 et leurs descendants.
Les communistes, les écologistes et les Insoumis craignent que le report du scrutin ne soit synonyme d'une marche vers l'accord de Bougival, qui est considéré comme une forme de compromis avec la Nouvelle-Calédonie. Les députés LR Philippe Gosselin et la députée LFI Mathilde Panot défendent leurs positions respectives.
Le processus politique semble en suspens, mais il est probable que le report des élections soit adopté dans les prochaines semaines, malgré les résistances du camp loyaliste.