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L'appel de Nnamdi Kanu à manifester en mémoire des victimes de la répression du 20 octobre 2020 a été ignoré par le gouvernement nigérian. Les forces de l'ordre et l'armée ont déployées massivement dans les rues d'Abuja pour empêcher tout rassemblement, malgré une importante mobilisation des soutiens du leader indépendantiste biafrais en détention depuis quatre ans.
Le souvenir du massacre du péage de Lekki reste vivace, et il semble que le gouvernement nigérian n'a pas appris les leçons de cet événement tragique. La police a encore déployée ses forces de sécurité sur les intersections et axes majeurs de la capitale fédérale, empêchant les gens de vivre dans leurs quartiers périphériques comme Dutse, Lugbe ou Nyanya.
Le gouvernement a ordonné le déploiement massif des policiers, ainsi que de l'armée, pour réprimer tout rassemblement en faveur de Nnamdi Kanu. Les forces de sécurité ont même procédé à des tirs de gaz lacrymogène sur les manifestants qui scandent des slogans demandant la libération du leader biafrais.
La réaction des autorités montre que le gouvernement nigérian refuse d'avoir une alliance avec les mouvements de Sowore et Kanu, générés par la solidarité avec la communauté Igbo. Les mêmes pratiques policières persistent malgré la dissolution de l'unité mise en cause dans cet événement – la fameuse Sars.
Les réactions des habitants montrent que les Nigérians ont toujours du mal à faire confiance au gouvernement et aux autorités, qui semblent ignorer les besoins de leur peuple. La situation reste donc très préoccupante pour les droits humains et la stabilité politique dans le pays.
Le souvenir du massacre du péage de Lekki reste vivace, et il semble que le gouvernement nigérian n'a pas appris les leçons de cet événement tragique. La police a encore déployée ses forces de sécurité sur les intersections et axes majeurs de la capitale fédérale, empêchant les gens de vivre dans leurs quartiers périphériques comme Dutse, Lugbe ou Nyanya.
Le gouvernement a ordonné le déploiement massif des policiers, ainsi que de l'armée, pour réprimer tout rassemblement en faveur de Nnamdi Kanu. Les forces de sécurité ont même procédé à des tirs de gaz lacrymogène sur les manifestants qui scandent des slogans demandant la libération du leader biafrais.
La réaction des autorités montre que le gouvernement nigérian refuse d'avoir une alliance avec les mouvements de Sowore et Kanu, générés par la solidarité avec la communauté Igbo. Les mêmes pratiques policières persistent malgré la dissolution de l'unité mise en cause dans cet événement – la fameuse Sars.
Les réactions des habitants montrent que les Nigérians ont toujours du mal à faire confiance au gouvernement et aux autorités, qui semblent ignorer les besoins de leur peuple. La situation reste donc très préoccupante pour les droits humains et la stabilité politique dans le pays.