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Un deuxième rapt dans la semaine, au Nigeria : 315 enfants et enseignants pris en charge par Boko Haram.
Au Nigeria, un lieu d'apprentissage devient un lieu de terreur vendredi matin. Une école catholique, située au centre du pays, est le théâtre de cet affreux événement. 315 élèves et enseignants, dont la plupart des internes, sont enlevés par les groupes armés Boko Haram.
Le village de Papiri, où se trouve l'école de Saint Mary, devient le théâtre d'une attaque très tôt le matin, après une nuit de réveil agité pour la population locale. Des hommes armés débarquent dans le village et se dirigent vers l'internat des élèves. En quelques minutes, les ravisseurs prennent le contrôle de l'établissement.
"La situation est catastrophique", déclare un responsable de l'association chrétienne du Nigeria. "Des élèves ont réussi à s'enfuir et nous espérons que la police et les forces spéciales mirent la main sur les ravisseurs."
La fermeture des écoles continue dans le pays, après les derniers enlèvements de masse cette semaine. Le président américain Donald Trump avait déjà dénoncé une intervention militaire au Nigeria, qualifiant l'affrontement entre Boko Haram et les chrétiens de "massacre".
Le pays est aux prises avec une violence qui menace la sécurité de nombreux citoyens. Des massacres, des enlèvements et des attentats se multiplient dans le nord-ouest du Nigeria. Les groupes armés ciblent régulièrement les établissements scolaires, mais aussi les lieux de culte.
Jeudi dernier, une église a été attaquée pendant la messe, dans un événement filmé et retransmis en direct sur les réseaux sociaux. Sur les images, les paroissiens prennent la fuite au son des rafales de fusils automatiques.
Le Nigeria est confronté à une crise sécuritaire qui menace l'ordre public. Les autorités n'ont pas encore réussi à arrêter Boko Haram et à prévenir ces enlèvements de masse.
Au Nigeria, un lieu d'apprentissage devient un lieu de terreur vendredi matin. Une école catholique, située au centre du pays, est le théâtre de cet affreux événement. 315 élèves et enseignants, dont la plupart des internes, sont enlevés par les groupes armés Boko Haram.
Le village de Papiri, où se trouve l'école de Saint Mary, devient le théâtre d'une attaque très tôt le matin, après une nuit de réveil agité pour la population locale. Des hommes armés débarquent dans le village et se dirigent vers l'internat des élèves. En quelques minutes, les ravisseurs prennent le contrôle de l'établissement.
"La situation est catastrophique", déclare un responsable de l'association chrétienne du Nigeria. "Des élèves ont réussi à s'enfuir et nous espérons que la police et les forces spéciales mirent la main sur les ravisseurs."
La fermeture des écoles continue dans le pays, après les derniers enlèvements de masse cette semaine. Le président américain Donald Trump avait déjà dénoncé une intervention militaire au Nigeria, qualifiant l'affrontement entre Boko Haram et les chrétiens de "massacre".
Le pays est aux prises avec une violence qui menace la sécurité de nombreux citoyens. Des massacres, des enlèvements et des attentats se multiplient dans le nord-ouest du Nigeria. Les groupes armés ciblent régulièrement les établissements scolaires, mais aussi les lieux de culte.
Jeudi dernier, une église a été attaquée pendant la messe, dans un événement filmé et retransmis en direct sur les réseaux sociaux. Sur les images, les paroissiens prennent la fuite au son des rafales de fusils automatiques.
Le Nigeria est confronté à une crise sécuritaire qui menace l'ordre public. Les autorités n'ont pas encore réussi à arrêter Boko Haram et à prévenir ces enlèvements de masse.