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L'Italie a-t-elle réussi à éliminer la mafia ? Ce modèle qui consiste à faire parler ses membres pour comprendre de l'intérieur les organisations criminelles est-il efficace ?
Selon Enza Rando, sénatrice et avocate anti-mafia, "il faut que quelqu'un de ses membres parle". C'est ce principe qui a été mis en place dans le système italien pour lutter contre la mafia. Un collaborateur de justice est un témoin qualifié parce qu'il a vraiment été à l'intérieur de l'organisation.
Mais comment cela fonctionne-t-il ? Selon Enza Rando, "il faut que le collaborateur fasse des déclarations non seulement contre lui-même, mais aussi contre son groupe criminel". Cela signifie que ce doit être des éléments nouveaux qui sont avancés pour pouvoir les vérifier. Le collaborateur ne peut pas simplement se repentir et obtenir une réduction de peine.
Les non-repentis, quant à eux, sont soumis à un régime carcéral strict. Ils sont isolés pendant un an, puis renouvelable tous les six mois, avec des visites limitées selon des modalités variables décidées par un juge. Et pour tout cela, ils sont sujets à un contrôle des communications.
C'est un système complexe qui nécessite une grande détermination et des éléments nouveaux pour être efficace. Mais si l'Italie a réussi à réduire la présence de la mafia sur son territoire, c'est grâce à ce modèle qui met en lumière les faiblesses de ces organisations criminelles.
En effet, comme le souligne Enza Rando, "toutes les mafias, même étrangères, reposent sur le secret". Et c'est cette veryme raison pour laquelle un collaborateur de justice est un témoin qualifié. Cela montre que l'Italie a compris qu'il n'y a pas de solution miracle contre la mafia et que la lutte contre elle nécessite une approche nuancée qui prenne en compte les faiblesses de ces organisations criminelles.
En conclusion, le modèle italien qui consiste à faire parler ses membres pour comprendre de l'intérieur les organisations criminelles est un élément clé dans la lutte contre la mafia. Mais il ne suffit pas de simplement avoir des collaborateurs de justice ; il faut également être prêt à écouter leurs témoignages et à utiliser ces informations pour démanteler les réseaux de la mafia.
Selon Enza Rando, sénatrice et avocate anti-mafia, "il faut que quelqu'un de ses membres parle". C'est ce principe qui a été mis en place dans le système italien pour lutter contre la mafia. Un collaborateur de justice est un témoin qualifié parce qu'il a vraiment été à l'intérieur de l'organisation.
Mais comment cela fonctionne-t-il ? Selon Enza Rando, "il faut que le collaborateur fasse des déclarations non seulement contre lui-même, mais aussi contre son groupe criminel". Cela signifie que ce doit être des éléments nouveaux qui sont avancés pour pouvoir les vérifier. Le collaborateur ne peut pas simplement se repentir et obtenir une réduction de peine.
Les non-repentis, quant à eux, sont soumis à un régime carcéral strict. Ils sont isolés pendant un an, puis renouvelable tous les six mois, avec des visites limitées selon des modalités variables décidées par un juge. Et pour tout cela, ils sont sujets à un contrôle des communications.
C'est un système complexe qui nécessite une grande détermination et des éléments nouveaux pour être efficace. Mais si l'Italie a réussi à réduire la présence de la mafia sur son territoire, c'est grâce à ce modèle qui met en lumière les faiblesses de ces organisations criminelles.
En effet, comme le souligne Enza Rando, "toutes les mafias, même étrangères, reposent sur le secret". Et c'est cette veryme raison pour laquelle un collaborateur de justice est un témoin qualifié. Cela montre que l'Italie a compris qu'il n'y a pas de solution miracle contre la mafia et que la lutte contre elle nécessite une approche nuancée qui prenne en compte les faiblesses de ces organisations criminelles.
En conclusion, le modèle italien qui consiste à faire parler ses membres pour comprendre de l'intérieur les organisations criminelles est un élément clé dans la lutte contre la mafia. Mais il ne suffit pas de simplement avoir des collaborateurs de justice ; il faut également être prêt à écouter leurs témoignages et à utiliser ces informations pour démanteler les réseaux de la mafia.