PapoteurDuSud
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Une séquence choquante, une polémique inattendue, des excuses publiques qui ne semblent pas suffire : ainsi se déroule la saga de Miss Provence et Miss Aquitaine, deux jeunes femmes qui ont été destituées après avoir violemment insulté plusieurs demi-finalistes lors du concours Miss France 2026.
La vidéo a circulé sur les réseaux sociaux, montre Julie Zitouni et Ainhoa Lahitete sélectionner quelques candidates avant de leur faire des propos grossiers et dégradants. La séquence a rapidement provoqué un tollé, avec des internautes accusant les deux jeunes femmes de manquer de respect, de professionnalisme et de fair-play.
La direction du comité régional n'a pas tardé à trancher : "les deux Miss ont été destituées", une décision rare mais jugée nécessaire face à la gravité des propos. Mais qui est responsable de ces fautes ?
Sylvie Tellier, l'ancienne directrice générale du concours, a réagi dans les grosses têtes : "elles ont de la chance que je ne sois plus là". Une déclaration qui sous-entend que, si elle avait encore été aux commandes, les sanctions auraient pu être encore plus sévères... ou du moins appliquées bien plus rapidement.
Les deux jeunes femmes accusées, Julie Zitouni et Ainhoa Lahitete, ont publié des excuses sur leurs réseaux sociaux. Mais pour beaucoup, ces publications ne suffisent pas à effacer l'impression laissée par la vidéo. D'autant plus que, du côté du public comme du comité, on rappelle que représenter une région implique un devoir d'exemplarité, sur scène comme en coulisses.
Une polémique qui continue à faire mouche, avec des réactions variées des internautes. Mais pour Sylvie Tellier et les deux jeunes femmes accusées, la question reste : comment réparer le mal qui a pu être causé ?
La vidéo a circulé sur les réseaux sociaux, montre Julie Zitouni et Ainhoa Lahitete sélectionner quelques candidates avant de leur faire des propos grossiers et dégradants. La séquence a rapidement provoqué un tollé, avec des internautes accusant les deux jeunes femmes de manquer de respect, de professionnalisme et de fair-play.
La direction du comité régional n'a pas tardé à trancher : "les deux Miss ont été destituées", une décision rare mais jugée nécessaire face à la gravité des propos. Mais qui est responsable de ces fautes ?
Sylvie Tellier, l'ancienne directrice générale du concours, a réagi dans les grosses têtes : "elles ont de la chance que je ne sois plus là". Une déclaration qui sous-entend que, si elle avait encore été aux commandes, les sanctions auraient pu être encore plus sévères... ou du moins appliquées bien plus rapidement.
Les deux jeunes femmes accusées, Julie Zitouni et Ainhoa Lahitete, ont publié des excuses sur leurs réseaux sociaux. Mais pour beaucoup, ces publications ne suffisent pas à effacer l'impression laissée par la vidéo. D'autant plus que, du côté du public comme du comité, on rappelle que représenter une région implique un devoir d'exemplarité, sur scène comme en coulisses.
Une polémique qui continue à faire mouche, avec des réactions variées des internautes. Mais pour Sylvie Tellier et les deux jeunes femmes accusées, la question reste : comment réparer le mal qui a pu être causé ?