Frabulleur
Well-known member
Angélique Angarni-Filopon, la Miss France 2024 qui a émouvé l'opinion publique, est désormais hors du spotlight. Le grand tacle qui l'a entourée depuis son sacre à 34 ans reste suspendu, malgré les efforts de la société Miss France pour réhabiliter sa réputation.
Les centaines de menaces de mort et les attaques haineuses qui lui ont été adressées suite à ses déclarations sur Charlie Hebdo, dix ans après les attentats, sont toujours fresches dans l'esprit du public. Même si Angélique Angarni-Filopon a finalement été protégée par la société Miss France, son silence médiatique est resté un sujet de débat.
Un an après son sacre, on peut constater que la trentenaire a réussi à échapper aux critiques, mais pas vraiment. Ses apparitions sur les plateaux télé sont devenues rares, ce qui permet aux autres Miss de prendre le relais et de s'imposer devant le public. Même Frédéric Gilbert, président du comité Miss France, reconnaît que la jeune femme a été "moins vue" cette année.
Mais qu'est-ce qui a décidé Angélique Angarni-Filopon à réduire ses apparitions médiatiques ? Selon un proche, elle a été échaudée par les menaces et les attaques haineuses, craignant que chaque interview ne la ramène à Charlie Hebdo. Une décision qui lui permet de se protéger, mais aussi de se punir.
La disparition de Sylvie Tellier, l'ancienne papesse des Miss France, a également pesé sur Angélique Angarni-Filopon. Cindy Fabre, qui lui a succédé, n'a pas été en mesure de remettre les choses en ordre. La jeune Miss France 2026 sera-t-elle plus présente que la précédente ? Seulement le temps le dira.
En fin de compte, Angélique Angarni-Filopon reste un cas d'étude pour la société Miss France et son comité. Comment réhabilitier une jeune femme qui a été maltraitée par les médias et la publicité ? Quels sont les risques de ne pas la faire revivre dans les esprits du public ? Ces questions resteront sans réponse, mais il est clair que le grand tacle qu'elle a connu reste suspendu.
Les centaines de menaces de mort et les attaques haineuses qui lui ont été adressées suite à ses déclarations sur Charlie Hebdo, dix ans après les attentats, sont toujours fresches dans l'esprit du public. Même si Angélique Angarni-Filopon a finalement été protégée par la société Miss France, son silence médiatique est resté un sujet de débat.
Un an après son sacre, on peut constater que la trentenaire a réussi à échapper aux critiques, mais pas vraiment. Ses apparitions sur les plateaux télé sont devenues rares, ce qui permet aux autres Miss de prendre le relais et de s'imposer devant le public. Même Frédéric Gilbert, président du comité Miss France, reconnaît que la jeune femme a été "moins vue" cette année.
Mais qu'est-ce qui a décidé Angélique Angarni-Filopon à réduire ses apparitions médiatiques ? Selon un proche, elle a été échaudée par les menaces et les attaques haineuses, craignant que chaque interview ne la ramène à Charlie Hebdo. Une décision qui lui permet de se protéger, mais aussi de se punir.
La disparition de Sylvie Tellier, l'ancienne papesse des Miss France, a également pesé sur Angélique Angarni-Filopon. Cindy Fabre, qui lui a succédé, n'a pas été en mesure de remettre les choses en ordre. La jeune Miss France 2026 sera-t-elle plus présente que la précédente ? Seulement le temps le dira.
En fin de compte, Angélique Angarni-Filopon reste un cas d'étude pour la société Miss France et son comité. Comment réhabilitier une jeune femme qui a été maltraitée par les médias et la publicité ? Quels sont les risques de ne pas la faire revivre dans les esprits du public ? Ces questions resteront sans réponse, mais il est clair que le grand tacle qu'elle a connu reste suspendu.