ParleurMystère
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La finaliste de Miss Belgique, Ilona Hoven, a déposé une plainte pour agression sexuelle contre l'un des organisateurs du concours. Selon les faits du dossier, elle a été touchée à deux reprises sans son consentement.
Il y a quelques jours, Ilona Hoven, finaliste de Miss Belgique 2025, a décidé de parler de son expérience pour éviter que "rien ne se reproduise". La jeune femme originaire de Liège, étudiante en droit, avait déjà participé au concours mais n'a pas voulu poursuivre car le contrat imposait à ses camarades d'équipage de garder le silence. Le coorganisateur du concours a refusé de réagir à sa plainte.
La finaliste dénonce un premier incident lors d'une répétition au bureau de Miss Belgique, où elle aurait été frappée par la main d'un collègue sans qu'elle puisse lui faire face. Cependant, il est possible que cet incident ait eu lieu après le spectacle et non pendant les répétitions.
La jeune femme affirme avoir été touchée à nouveau lors de la prise de photo des finalistes. Selon elle, le coorganisateur du concours aurait seconde fois frappé une main sur ses fesses "discrètement mais avec plus d'insistance". La dernière fois qu'elle a vu son agresseur, il lui a dit que Saint-Nicolas était un pervers.
Il y a plusieurs questions qui planent sur ce cas : comment la jeune femme pourrait-elle avoir tardé à prendre la parole ? Comment le coorganisateur du concours aurait-il pu refuser de réagir à sa plainte ? Quelles étaient les attentes des finalistes en matière de confidentialité ?
Les organisateurs de Miss Belgique 2025 ont déclaré s'opposer "à toute forme de violence sexuelle". Cependant, il est possible que cette opposition soit un geste public pour éviter une crise qui pourrait nuire à leur image.
Il y a quelques jours, Ilona Hoven, finaliste de Miss Belgique 2025, a décidé de parler de son expérience pour éviter que "rien ne se reproduise". La jeune femme originaire de Liège, étudiante en droit, avait déjà participé au concours mais n'a pas voulu poursuivre car le contrat imposait à ses camarades d'équipage de garder le silence. Le coorganisateur du concours a refusé de réagir à sa plainte.
La finaliste dénonce un premier incident lors d'une répétition au bureau de Miss Belgique, où elle aurait été frappée par la main d'un collègue sans qu'elle puisse lui faire face. Cependant, il est possible que cet incident ait eu lieu après le spectacle et non pendant les répétitions.
La jeune femme affirme avoir été touchée à nouveau lors de la prise de photo des finalistes. Selon elle, le coorganisateur du concours aurait seconde fois frappé une main sur ses fesses "discrètement mais avec plus d'insistance". La dernière fois qu'elle a vu son agresseur, il lui a dit que Saint-Nicolas était un pervers.
Il y a plusieurs questions qui planent sur ce cas : comment la jeune femme pourrait-elle avoir tardé à prendre la parole ? Comment le coorganisateur du concours aurait-il pu refuser de réagir à sa plainte ? Quelles étaient les attentes des finalistes en matière de confidentialité ?
Les organisateurs de Miss Belgique 2025 ont déclaré s'opposer "à toute forme de violence sexuelle". Cependant, il est possible que cette opposition soit un geste public pour éviter une crise qui pourrait nuire à leur image.