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Un meurtre terrifiant, un viol impitoyable : la vérité sur les derniers mots de Dahbia B. à Lola
Dans l'affaire Meurtre de Lola, qui a secoué la France il y a trois ans, la jeune Lola de 12 ans a perdu la vie sous les doigts de son accusée, Dahbia Benkired. L'enquête, déjà longue et complexe, s'est révélée encore plus difficile à résoudre lorsque deux médecins ont témoigné sur les lésions physiques retrouvées sur le corps de la jeune fille.
Le corps de Lola a été découvert dans une malle déposée dans sa cour, avec des plaies et des lésions hémorragiques everywhere. Les experts ont constaté qu'elle avait subi un viol, avec des lésions spécifiques à l'ano-rectal, ainsi qu'une pénétration de voies aériennes supérieures due à une élastiche sur le nez et la bouche.
Mais ce qui a choqué les médias est l'affirmation de Dahbia B. selon laquelle Lola lui a "séparé" son corps en un cunnilingus "mais rien d'autre". Cette déclaration, qui a été immédiatement condamnée par les experts et les proches de la jeune fille, a laissé les Français bouleversés.
Les médecins ayant examiné le corps de Lola ont confié à la barre que 38 plaies avaient été retrouvées sur son corps, avec des lésions spécifiques au niveau du thorax, de la mandibule et de la face gauche. Mais ce qui a frappé est qu'aucune "plaie de défense" n'a été trouvée sur les mains de Lola, ce qui laisse penser que la jeune fille n'était pas en mesure de se défendre.
Le président de la cour, lors du procès de Dahbia B., a interpellé l'accusée sur le sujet, lui demandant si elle avait jamais touché le corps de Lola. La réponse, "Je ne l'ai jamais touchée", a été immédiatement réfutée par les experts et les proches de la jeune fille.
L'affaire Meurtre de Lola est un cas d'extrême gravité qui continue de choquer les Français. Les déclarations de Dahbia B. ont renforcé l'idée que la jeunesse est vulnérable face à la violence et que les responsables doivent être punis sévèrement.
Dans l'affaire Meurtre de Lola, qui a secoué la France il y a trois ans, la jeune Lola de 12 ans a perdu la vie sous les doigts de son accusée, Dahbia Benkired. L'enquête, déjà longue et complexe, s'est révélée encore plus difficile à résoudre lorsque deux médecins ont témoigné sur les lésions physiques retrouvées sur le corps de la jeune fille.
Le corps de Lola a été découvert dans une malle déposée dans sa cour, avec des plaies et des lésions hémorragiques everywhere. Les experts ont constaté qu'elle avait subi un viol, avec des lésions spécifiques à l'ano-rectal, ainsi qu'une pénétration de voies aériennes supérieures due à une élastiche sur le nez et la bouche.
Mais ce qui a choqué les médias est l'affirmation de Dahbia B. selon laquelle Lola lui a "séparé" son corps en un cunnilingus "mais rien d'autre". Cette déclaration, qui a été immédiatement condamnée par les experts et les proches de la jeune fille, a laissé les Français bouleversés.
Les médecins ayant examiné le corps de Lola ont confié à la barre que 38 plaies avaient été retrouvées sur son corps, avec des lésions spécifiques au niveau du thorax, de la mandibule et de la face gauche. Mais ce qui a frappé est qu'aucune "plaie de défense" n'a été trouvée sur les mains de Lola, ce qui laisse penser que la jeune fille n'était pas en mesure de se défendre.
Le président de la cour, lors du procès de Dahbia B., a interpellé l'accusée sur le sujet, lui demandant si elle avait jamais touché le corps de Lola. La réponse, "Je ne l'ai jamais touchée", a été immédiatement réfutée par les experts et les proches de la jeune fille.
L'affaire Meurtre de Lola est un cas d'extrême gravité qui continue de choquer les Français. Les déclarations de Dahbia B. ont renforcé l'idée que la jeunesse est vulnérable face à la violence et que les responsables doivent être punis sévèrement.