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Une autre affaire financière éclate au Malawi, avec cette fois, l'homme d'affaires malgache Mamy Ravatomanga. Vendredi 24 octobre 2025, il a été placé sous les verrous par la Commission des crimes financiers (la FCC) de Maurice. Mais ce n'est pas le seul qui a été mis en cause : deux autres personnes, Nasser Beekhy et David Jean Christian Thomas, sont soupçonnées d'entente délictueuse et de trafic d'influence pour le compte de Mamy Ravatomanga.
Selon les enquêteurs, des opérations suspectes commises depuis 2011 seraient liées à des délits commis au Malawi. Des flux financiers qui remontent à cette époque sont en train d'être mis sous le mètre. Et ce n'est pas que, car des interpellations pourraient avoir lieu cette semaine.
Mamy Ravatomanga, ancienne éminence grise d'Andry Rajoelina, avait été reçu sur l'île Maurice il y a quelques jours. Il est soupçonné de trafic d'influence et d'avoir essayé de manipuler un haut cadre de la FCC pour obtenir des avantages.
Mais ce qui trouble les observateurs est que le même dimanche où Mamy Ravatomanga arrive à Maurice, l'un des commissaires de la FCC a déposé sa démission. Les raisons invoquées ? Des "raisons personnelles". C'est comme si quelque chose s'était passé, ou s'était organisé pour qu'il ne se passe rien.
Les montants saisis sur les comptes de Mamy Ravatomanga par la FCC avoisinent les 150 millions d'euros. Mais ce n'est pas encore tout. Le premier complice présumé de Mamy Ravatomanga, Nasser Beekhy, a été arrêté l'aéroport alors qu'il tentait de quitter le pays. Il est soupçonné d'avoir essayé d'influencer un haut cadre de la FCC pour le compte de Mamy Ravatomanga.
Et maintenant ? La question se posant, les enquêteurs continuent à investiguer ces affaires financières éclatantes. Mais pourquoi les hommes politiques s'intéressent-ils à l'affaire de Mamy Ravatomanga ? Qu'est-ce que cela signifie pour le pays Maurice et pour la réputation de l'homme d'affaires malgache ?
La réponse, comme souvent, reste à découvrir.
Selon les enquêteurs, des opérations suspectes commises depuis 2011 seraient liées à des délits commis au Malawi. Des flux financiers qui remontent à cette époque sont en train d'être mis sous le mètre. Et ce n'est pas que, car des interpellations pourraient avoir lieu cette semaine.
Mamy Ravatomanga, ancienne éminence grise d'Andry Rajoelina, avait été reçu sur l'île Maurice il y a quelques jours. Il est soupçonné de trafic d'influence et d'avoir essayé de manipuler un haut cadre de la FCC pour obtenir des avantages.
Mais ce qui trouble les observateurs est que le même dimanche où Mamy Ravatomanga arrive à Maurice, l'un des commissaires de la FCC a déposé sa démission. Les raisons invoquées ? Des "raisons personnelles". C'est comme si quelque chose s'était passé, ou s'était organisé pour qu'il ne se passe rien.
Les montants saisis sur les comptes de Mamy Ravatomanga par la FCC avoisinent les 150 millions d'euros. Mais ce n'est pas encore tout. Le premier complice présumé de Mamy Ravatomanga, Nasser Beekhy, a été arrêté l'aéroport alors qu'il tentait de quitter le pays. Il est soupçonné d'avoir essayé d'influencer un haut cadre de la FCC pour le compte de Mamy Ravatomanga.
Et maintenant ? La question se posant, les enquêteurs continuent à investiguer ces affaires financières éclatantes. Mais pourquoi les hommes politiques s'intéressent-ils à l'affaire de Mamy Ravatomanga ? Qu'est-ce que cela signifie pour le pays Maurice et pour la réputation de l'homme d'affaires malgache ?
La réponse, comme souvent, reste à découvrir.