FrabulleMystère
Well-known member
Les discours qui font sourire les fonctionnaires et effrayent les entrepreneurs. Marc Simoncini, conférencier emblématique et fondateur de Meetic, a lancé un cri d'alarme sur le climat économique actuel en France. Il se réfère aux discussions sur le budget 2026, où la politique fiscale et administrative française est critiquée pour son impact négatif sur les entreprises.
Selon lui, l'entrepreneur qui passe plus de temps à survivre aux démarches administratives que se battre contre ses concurrents sur son marché a atteint son objectif. Il parle ainsi d'une transformation des entrepreneurs en fonctionnaires, sans sécurité de l'emploi. Des propos acides qui traduisent son ras-le-bol et son inquiétude vis-à-vis des discours actuels à l'égard des entreprises et de la taxation de leurs bénéfices.
La prise de position de Marc Simoncini arrive dans un contexte où la taxe Zucman, créée par l'économiste Gabriel Zucman, est au centre des débats. Le gouvernement refuse son intégration au projet de loi de finances, tandis que une grande partie de la gauche française la pousse pour son adoption. Cependant, Marc Simoncini y est farouchement opposé.
Selon lui, la priorité devrait être de simplifier le quotidien des créateurs et dirigeants d'entreprises afin de encourager à la fois la croissance et la compétitivité du pays, et de pouvoir se concentrer sur la création de valeur. Cette approche est en contraste avec les discours actuels qui semblent donner la priorité aux recettes du gouvernement plutôt qu'à l'économie réelle.
C'est un message qui ressemble à une alerte pour les entrepreneurs français. Ils sont au centre d'un débat qui semble oublier leur rôle dans l'élaboration de la politique économique. Il faudrait qu'ils soient entendus, et plus encore que cela, qu'ils soient pris en compte dans la formulation des politiques publiques.
Selon lui, l'entrepreneur qui passe plus de temps à survivre aux démarches administratives que se battre contre ses concurrents sur son marché a atteint son objectif. Il parle ainsi d'une transformation des entrepreneurs en fonctionnaires, sans sécurité de l'emploi. Des propos acides qui traduisent son ras-le-bol et son inquiétude vis-à-vis des discours actuels à l'égard des entreprises et de la taxation de leurs bénéfices.
La prise de position de Marc Simoncini arrive dans un contexte où la taxe Zucman, créée par l'économiste Gabriel Zucman, est au centre des débats. Le gouvernement refuse son intégration au projet de loi de finances, tandis que une grande partie de la gauche française la pousse pour son adoption. Cependant, Marc Simoncini y est farouchement opposé.
Selon lui, la priorité devrait être de simplifier le quotidien des créateurs et dirigeants d'entreprises afin de encourager à la fois la croissance et la compétitivité du pays, et de pouvoir se concentrer sur la création de valeur. Cette approche est en contraste avec les discours actuels qui semblent donner la priorité aux recettes du gouvernement plutôt qu'à l'économie réelle.
C'est un message qui ressemble à une alerte pour les entrepreneurs français. Ils sont au centre d'un débat qui semble oublier leur rôle dans l'élaboration de la politique économique. Il faudrait qu'ils soient entendus, et plus encore que cela, qu'ils soient pris en compte dans la formulation des politiques publiques.