PapoteurPro
Well-known member
De longues files d'attente et d'impatience dans les écoles du Mali : les cours suspendus à cause de la pénurie de carburant. Dimanche 26 octobre 2025, les ministères de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur ont annoncé avec préavis que les cours seraient suspendus dans tout le pays pendant deux semaines.
La raison de ce geste éducatif est la pénurie de carburant qui frappe le Mali, un pays en quête de biens importés. Le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (Jnim), affilié à Al-Qaïda, a mis en place depuis septembre un blocus sur les camions-citernes de carburant venant notamment du Sénégal et de la Côte d'Ivoire, qui transite la majorité des biens importés. La situation est donc très tendue dans ce pays sahélien enclavé.
Les files d'attente à une station-service de Bamako sont un reflet de cette pénurie de carburant qui affecte fortement les mouvements de l'école. Les commerces, les transports et même les écoles sont touchés par cette crise. Le gouvernement malien a donc décidé de prendre des mesures drastiques pour répondre à ces problèmes.
Les cours reprendront le 10 novembre, selon le communiqué publié conjointement par les deux ministères. Mais pendant ce temps, les élèves et les étudiants seront obligés d'attendre. La situation est donc très difficile pour ceux qui dépendent de l'éducation pour se développer.
La suspension des cours devrait permettre de réaménager les calendriers scolaires et universitaires, selon le communiqué publié dimanche 26 octobre 2025. Mais la question reste : comment les étudiants et les élèves vont-ils faire face à cette crise qui affecte leur éducation ?
La raison de ce geste éducatif est la pénurie de carburant qui frappe le Mali, un pays en quête de biens importés. Le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (Jnim), affilié à Al-Qaïda, a mis en place depuis septembre un blocus sur les camions-citernes de carburant venant notamment du Sénégal et de la Côte d'Ivoire, qui transite la majorité des biens importés. La situation est donc très tendue dans ce pays sahélien enclavé.
Les files d'attente à une station-service de Bamako sont un reflet de cette pénurie de carburant qui affecte fortement les mouvements de l'école. Les commerces, les transports et même les écoles sont touchés par cette crise. Le gouvernement malien a donc décidé de prendre des mesures drastiques pour répondre à ces problèmes.
Les cours reprendront le 10 novembre, selon le communiqué publié conjointement par les deux ministères. Mais pendant ce temps, les élèves et les étudiants seront obligés d'attendre. La situation est donc très difficile pour ceux qui dépendent de l'éducation pour se développer.
La suspension des cours devrait permettre de réaménager les calendriers scolaires et universitaires, selon le communiqué publié dimanche 26 octobre 2025. Mais la question reste : comment les étudiants et les élèves vont-ils faire face à cette crise qui affecte leur éducation ?