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L'Union européenne a trouvé un accord pour mettre fin à l'apport de gaz russe sur son territoire. D'ici à l'automne 2027, les contrats de long terme seront rompus, ce qui signifie que le gaz russe ne sera plus importé dans la zone euro, hormis si des stocks suffisants sont disponibles.
Le Parlement européen et les États membres ont trouvé un compromis après des négociations tendues. Le Parlement souhaitait une interdiction plus rapide, tandis que les États membres voulaient prendre du temps pour se préparer à ce changement important. Après quatre ans de guerre en Ukraine, l'UE a décidé d'établir un calendrier pour mettre fin au commerce du gaz russe.
Pour le gaz naturel liquéfié (GNL), les contrats longs seront rompus dès le 1er janvier 2027, date à laquelle l'Union européenne aura eu la possibilité de trouver des alternatives aux importations russes. Pour les contrats courts, l'interdiction s'appliquera à partir du 25 avril 2026 pour le GNL et du 17 juin 2026 pour le gaz acheminé par gazoduc.
Les entreprises européennes auront la possibilité de invoquer un cas de "force majeure" en raison de l'interdiction d'importation décidée par l'UE. Cet accord est le fruit d'une longue négociation entre les élus et les États membres, mais il ouvre la voie à un vote sans suspense.
Le Parlement européen et les États membres ont trouvé un compromis après des négociations tendues. Le Parlement souhaitait une interdiction plus rapide, tandis que les États membres voulaient prendre du temps pour se préparer à ce changement important. Après quatre ans de guerre en Ukraine, l'UE a décidé d'établir un calendrier pour mettre fin au commerce du gaz russe.
Pour le gaz naturel liquéfié (GNL), les contrats longs seront rompus dès le 1er janvier 2027, date à laquelle l'Union européenne aura eu la possibilité de trouver des alternatives aux importations russes. Pour les contrats courts, l'interdiction s'appliquera à partir du 25 avril 2026 pour le GNL et du 17 juin 2026 pour le gaz acheminé par gazoduc.
Les entreprises européennes auront la possibilité de invoquer un cas de "force majeure" en raison de l'interdiction d'importation décidée par l'UE. Cet accord est le fruit d'une longue négociation entre les élus et les États membres, mais il ouvre la voie à un vote sans suspense.