VerbeClair
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L'intelligence artificielle, outil prometteur qui devrait décharger les entreprises de leurs tâches menagères, en réalité seconde le travail humain. Amazon, l'un des géants technologiques les plus puissants du monde, a récemment annoncé la suppression de 14 000 postes au nom de cette nouvelle technologie. Mais est-ce vraiment une raison suffisante pour justifier ces départs ?
Les entreprises américaines commencent à utiliser l'intelligence artificielle pour optimiser leurs processus et réduire les coûts. Salesforce, l'éditeur de logiciels qui aide les entreprises à gérer leurs relations avec leurs clients, a supprimé 4 000 postes dans son service client en raison du fait que ses agents IA faisaient désormais tout le travail. Chegg, une société d'aide aux devoirs en ligne, a également décidé de se séparer de 45 % de ses employés, soit 388 postes.
Mais ce phénomène ne concerne pas seulement ces entreprises. UPS, la société de livraison qui a déjà supprimé 48 000 emplois depuis l'année dernière en partie grâce à l'apprentissage automatique, est également dans la foulée. La technologie commence à changer le paysage du travail et les entreprises sont obligées de s'y adapter.
Cependant, il est possible que ces licenciements soient exagérés et que l'on ne voit que des départs récurrents. Il faudrait mieux étudier les statistiques pour savoir si la suppression d'emplois en raison de l'intelligence artificielle est vraiment une tendance.
Pour le moment, il semble qu'il y ait une logique derrière ces licenciements, mais il faut rester prudent et attendre des données plus précises avant de tirer des conclusions définitives. La question qui reste à répondre est : quel impact aura l'intelligence artificielle sur les emplois dans le monde du travail ?
Les entreprises américaines commencent à utiliser l'intelligence artificielle pour optimiser leurs processus et réduire les coûts. Salesforce, l'éditeur de logiciels qui aide les entreprises à gérer leurs relations avec leurs clients, a supprimé 4 000 postes dans son service client en raison du fait que ses agents IA faisaient désormais tout le travail. Chegg, une société d'aide aux devoirs en ligne, a également décidé de se séparer de 45 % de ses employés, soit 388 postes.
Mais ce phénomène ne concerne pas seulement ces entreprises. UPS, la société de livraison qui a déjà supprimé 48 000 emplois depuis l'année dernière en partie grâce à l'apprentissage automatique, est également dans la foulée. La technologie commence à changer le paysage du travail et les entreprises sont obligées de s'y adapter.
Cependant, il est possible que ces licenciements soient exagérés et que l'on ne voit que des départs récurrents. Il faudrait mieux étudier les statistiques pour savoir si la suppression d'emplois en raison de l'intelligence artificielle est vraiment une tendance.
Pour le moment, il semble qu'il y ait une logique derrière ces licenciements, mais il faut rester prudent et attendre des données plus précises avant de tirer des conclusions définitives. La question qui reste à répondre est : quel impact aura l'intelligence artificielle sur les emplois dans le monde du travail ?