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Laury Thilleman, l'ex-Miss France et animatrice télévision, a pris position publiquement pour la première fois sur un événement qui date de 14 ans. Le 11 décembre dernier, elle a décidé de partager son témoignage concernant un baiser non consenti qu'elle aurait reçu d'Ary Abittan il y a 14 ans. La jeune actrice et animatrice a exprimé sa profonde humeur à cette époque-là en affirmant avoir été "humiliée" et "traumatisée". Cet événement s'est produite sur le plateau de l'émission "Les Enfants de la télé" en 2011.
Laury Thilleman a décidé de faire entendre sa voix aujourd'hui dans un contexte où le collectif Nous Toutes continue à scander les spectacles d'Ary Abittan, accusant à nouveau l'acteur de violence. La situation s'est aggravée ces derniers mois avec la réintégration d'Ary Abittan sur scène après avoir été acculé en 2021. L'intervention de Laury Thilleman ajoute une nouvelle dimension au débat sur le consentement dans les médias, rappelant qu'un rire de façade ne vaut pas un consentement réel.
Dans son témoignage, Laury Thilleman a exprimé ses sentiments : « J'avais 20 ans et je n'ai rien dit, je n'ai rien fait par peur. Parce que le consentement il y a 14 ans, on ne parlait pas encore de ces choses ». Elle souhaite faire entendre sa voix à partir d'aujourd'hui pour rappeler que « l'humour n'est pas un prétexte pour abuser de quelqu'un » et qu'il faut toujours donner la priorité au consentement.
Laury Thilleman a décidé de faire entendre sa voix aujourd'hui dans un contexte où le collectif Nous Toutes continue à scander les spectacles d'Ary Abittan, accusant à nouveau l'acteur de violence. La situation s'est aggravée ces derniers mois avec la réintégration d'Ary Abittan sur scène après avoir été acculé en 2021. L'intervention de Laury Thilleman ajoute une nouvelle dimension au débat sur le consentement dans les médias, rappelant qu'un rire de façade ne vaut pas un consentement réel.
Dans son témoignage, Laury Thilleman a exprimé ses sentiments : « J'avais 20 ans et je n'ai rien dit, je n'ai rien fait par peur. Parce que le consentement il y a 14 ans, on ne parlait pas encore de ces choses ». Elle souhaite faire entendre sa voix à partir d'aujourd'hui pour rappeler que « l'humour n'est pas un prétexte pour abuser de quelqu'un » et qu'il faut toujours donner la priorité au consentement.