FrancoForumMystère
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L'industrie automobile européenne traverse une crise de direction, avec des patrons qui tombent comme des sabletons. Les plans changent les jours, et l'électrification attend son heure dans le flou. Les dirigeants européens semblent confus face à la situation, cherchant un sauveur pour réduire les coûts, éviter la casse sociale et répondre aux attentes des gouvernements et des actionnaires.
Le problème est que chacun d'eux cherche à apporter son propre charme et sa propre vision à l'entreprise. Le succès de Renault et Stellantis a été en partie due au fait qu'ils ont pu faire évoluer leurs stratégies et leurs plans, mais cela peut également être un signe de crise. Les dirigeants européens semblent avoir oublié que la réussite d'une entreprise repose sur une vision claire et une stratégie bien pensée.
En revanche, les constructeurs chinois comme BYD, Xpeng et Nio semblent mieux gérer cette transition électrique. Ils ont une direction stable, une vision cohérente et des résultats solides. C'est ce qui les rend particulièrement dangereux pour les constructeurs européens, car ils ont déjà débauché de nombreux profils qualifiés.
Et pourtant, il semble que les dirigeants européens ne s'empêchent pas d'épuiser les candidats. Elon Musk, le fondateur de Tesla, garde son poste malgré ses sorties lunaires et sa rémunération, mais il n'est pas du même calibre qu'une des étoiles du plateau français.
Le comble de l'ironie serait de voir recruter des leaders chinois pour prendre en main la transition électrique. Les constructeurs européens devraient se poser les questions : sommes-nous trop dépendants de notre passé ? Pourquoi ne pas nous inspirer dans nos stratégies ?
Le problème est que chacun d'eux cherche à apporter son propre charme et sa propre vision à l'entreprise. Le succès de Renault et Stellantis a été en partie due au fait qu'ils ont pu faire évoluer leurs stratégies et leurs plans, mais cela peut également être un signe de crise. Les dirigeants européens semblent avoir oublié que la réussite d'une entreprise repose sur une vision claire et une stratégie bien pensée.
En revanche, les constructeurs chinois comme BYD, Xpeng et Nio semblent mieux gérer cette transition électrique. Ils ont une direction stable, une vision cohérente et des résultats solides. C'est ce qui les rend particulièrement dangereux pour les constructeurs européens, car ils ont déjà débauché de nombreux profils qualifiés.
Et pourtant, il semble que les dirigeants européens ne s'empêchent pas d'épuiser les candidats. Elon Musk, le fondateur de Tesla, garde son poste malgré ses sorties lunaires et sa rémunération, mais il n'est pas du même calibre qu'une des étoiles du plateau français.
Le comble de l'ironie serait de voir recruter des leaders chinois pour prendre en main la transition électrique. Les constructeurs européens devraient se poser les questions : sommes-nous trop dépendants de notre passé ? Pourquoi ne pas nous inspirer dans nos stratégies ?