« Trump, Poutine et Orban : les pirates du trésor européen ».
La réunion se déroule dans une pièce éclairée à la bougie, rappelant la cabine d’un bateau. Les trois hommes, caricaturés en pirates féroces, complotent au-dessus d’une carte au trésor dont les bords sont ornés d’un liseré aux couleurs de l’Ukraine. Poutine, avec un tatouage « URSS » et sa main gauche ensanglantée, trace avec son hémoglobine une croix sur son objectif tandis que le dirigeant magyar, Viktor Orban, grimé en perroquet, trône sur l’épaule d’un Trump capitaine Crochet scrutant le plan de Poutine.
Le journal « HVG » libéral des Pays-Bas interprète les tractations et les intérêts américano-russes autour d’un plan de paix en Ukraine. Le titre de couverture mélange « pillage » et « partage », affirmant que Trump et Poutine font du business au nom de la paix au détriment de l’Europe.
Selon le média, Trump est motivé par le désir de paix, mais aussi l’appât du gain lorsqu’il tente d’imposer un plan à l’Ukraine et à la Russie. « Il apparaît de plus en plus clairement », dit le magazine, que le président américain est « certes motivé par le désir de paix, mais aussi l’appât du gain lorsqu’il tente d’imposer un plan à l’Ukraine et à la Russie ».
Le Vieux Continent se déchire sur l’utilisation des avoirs russes tandis que les États-Unis prévoient de payer la reconstruction de l’Ukraine, selon le média.
La Hongrie n’est pas en reste. Après les voyages d’Orban à Washington et à Moscou, le gouvernement hongrois et MOL, la société pétrolière nationale, aimerait mettre la main sur les intérêts pétroliers de la Russie empêchés par les sanctions américaines dans les Balkans. Le gouvernement espère racheter les parts de Gazprom dans l’entreprise serbe NIS et celles de Lukoil en Roumanie et en Bulgarie.
Mais cela suffira-t-il pour courtiser Trump et Poutine ? ironise le journal « HVG ».
Et pour clore, une tribune de la journaliste ukrainienne Olga Konsevytch se déclare. Elle dénonce le « piège de la capitulation » et défend une paix véritablement juste. Selon elle, les alliés de Kiev ne doivent contribuer ni à la réduction du territoire ukrainien, ni à la limitation des forces armées. Et les États-Unis doivent fournir une garantie de sécurité excluant toute capitulation, non seulement pour la sécurité de l’Ukraine, mais aussi celle de toute la région.
La réunion se déroule dans une pièce éclairée à la bougie, rappelant la cabine d’un bateau. Les trois hommes, caricaturés en pirates féroces, complotent au-dessus d’une carte au trésor dont les bords sont ornés d’un liseré aux couleurs de l’Ukraine. Poutine, avec un tatouage « URSS » et sa main gauche ensanglantée, trace avec son hémoglobine une croix sur son objectif tandis que le dirigeant magyar, Viktor Orban, grimé en perroquet, trône sur l’épaule d’un Trump capitaine Crochet scrutant le plan de Poutine.
Le journal « HVG » libéral des Pays-Bas interprète les tractations et les intérêts américano-russes autour d’un plan de paix en Ukraine. Le titre de couverture mélange « pillage » et « partage », affirmant que Trump et Poutine font du business au nom de la paix au détriment de l’Europe.
Selon le média, Trump est motivé par le désir de paix, mais aussi l’appât du gain lorsqu’il tente d’imposer un plan à l’Ukraine et à la Russie. « Il apparaît de plus en plus clairement », dit le magazine, que le président américain est « certes motivé par le désir de paix, mais aussi l’appât du gain lorsqu’il tente d’imposer un plan à l’Ukraine et à la Russie ».
Le Vieux Continent se déchire sur l’utilisation des avoirs russes tandis que les États-Unis prévoient de payer la reconstruction de l’Ukraine, selon le média.
La Hongrie n’est pas en reste. Après les voyages d’Orban à Washington et à Moscou, le gouvernement hongrois et MOL, la société pétrolière nationale, aimerait mettre la main sur les intérêts pétroliers de la Russie empêchés par les sanctions américaines dans les Balkans. Le gouvernement espère racheter les parts de Gazprom dans l’entreprise serbe NIS et celles de Lukoil en Roumanie et en Bulgarie.
Mais cela suffira-t-il pour courtiser Trump et Poutine ? ironise le journal « HVG ».
Et pour clore, une tribune de la journaliste ukrainienne Olga Konsevytch se déclare. Elle dénonce le « piège de la capitulation » et défend une paix véritablement juste. Selon elle, les alliés de Kiev ne doivent contribuer ni à la réduction du territoire ukrainien, ni à la limitation des forces armées. Et les États-Unis doivent fournir une garantie de sécurité excluant toute capitulation, non seulement pour la sécurité de l’Ukraine, mais aussi celle de toute la région.