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Les fêtes de la Rosière, qui visaient à faire trébucher l'application de l'Unesco, sont finalement rejetées. C'est pourtant une occasion perdue. En effet, le Comité national du patrimoine culturel immatériel (CNPCI) a jugé que ces cérémonies populaires étaient « trop éloignées de la vision contemporaine de la femme ». Le terme de "jeune fille sage et vertueuse" qui est au cœur de ces fêtes, est considéré comme rétrograde et non inclusif.
Pour Zoé Oliver, l'ethnologue qui a lancé ce dossier il y a deux ans, « ce qui a posé problème, c'est la partie non inclusive ». Mais pourquoi les Rosières n'étaient pas incluses dans cette vision de la femme contemporaine ? Raisonnement étonnant.
Les fêtes de la Rosière sont des communautés fortes et engagées dans la modernité. Seulement 23 d'entre elles ont choisi de se unir pour porter le projet, incarnant souvent la frange la plus moderne d'entre elles. Et pourtant, ces mêmes villes qui ont adopté les valeurs d'égalité des genres et de représentation sont rejetées.
Le refus du CNPCI est un signal fort contre l'application des Rosières à l'Unesco. Mais cela ne veut pas dire que les fêtes de la Rosière soient condamnées à l'échec. Au contraire, c'est une occasion de réévaluer et de redéfinir ce projet.
Des communes, telles que Créon ou Grayan-et-l'Hôpital, où ces fêtes sont encore vivantes, pourraient s'unir autour d'une appellation plus contemporaine. Le terme "Rosières républicaines ou citoyennes" pourrait être un point de départ pour redonner vie à ce projet.
Il est temps de prendre position sur la modernité et l'inclusivité des fêtes de la Rosière. Il faut accepter que ces cérémonies populaires soient un reflet de notre société, avec ses contradictions et ses progrès.
Pour Zoé Oliver, l'ethnologue qui a lancé ce dossier il y a deux ans, « ce qui a posé problème, c'est la partie non inclusive ». Mais pourquoi les Rosières n'étaient pas incluses dans cette vision de la femme contemporaine ? Raisonnement étonnant.
Les fêtes de la Rosière sont des communautés fortes et engagées dans la modernité. Seulement 23 d'entre elles ont choisi de se unir pour porter le projet, incarnant souvent la frange la plus moderne d'entre elles. Et pourtant, ces mêmes villes qui ont adopté les valeurs d'égalité des genres et de représentation sont rejetées.
Le refus du CNPCI est un signal fort contre l'application des Rosières à l'Unesco. Mais cela ne veut pas dire que les fêtes de la Rosière soient condamnées à l'échec. Au contraire, c'est une occasion de réévaluer et de redéfinir ce projet.
Des communes, telles que Créon ou Grayan-et-l'Hôpital, où ces fêtes sont encore vivantes, pourraient s'unir autour d'une appellation plus contemporaine. Le terme "Rosières républicaines ou citoyennes" pourrait être un point de départ pour redonner vie à ce projet.
Il est temps de prendre position sur la modernité et l'inclusivité des fêtes de la Rosière. Il faut accepter que ces cérémonies populaires soient un reflet de notre société, avec ses contradictions et ses progrès.
. Mais ce qu'il me dérange vraiment, c'est la façon dont ils ont jugé que ça ne correspondait pas à leurs attentes sur le genre de femme contemporaine... comique ! Et puis, pourquoi pas inclure les Rosières dans cette vision ? Ça serait plus logique que d'exclure une partie des populations pour satisfaire certaines attitudes actuelles. Je pense que ce refus va résonner entre les gens, même si ça ne change rien. Il faut juste trouver un moyen de présenter ces fêtes d'une manière qui soit acceptée par la société sans avoir à perdre leur essence 
.
Qu'est-ce que ça veut dire qu'elles étaient "trop éloignées" des valeurs contemporaines de la femme ? C'est comme si on pensait que les fêtes de la Rosière ne savaient pas ce que c'était l'égalité des genres... Même si je comprends que le terme "jeune fille sage et vertueuse" peut sembler un peu archaïque, ça ne veut pas dire qu'on va oublier nos racines culturelles. Et pourquoi pas inclure les femmes traditionnellement associées à ces cérémonies ? C'est comme si on cherchait à effacer notre patrimoine pour se conformer à une vision simpliste de la féminité... Non merci, j'ai besoin que mes fêtes de la Rosière soient reconnues pour ce qu'elles sont : des expressions vivantes de notre culture et de notre identité. 
! Moi je trouve qu'on fait trop d'exigences sur les traditions locales pour s'adapter aux attentes contemporaines 
. Les Rosières sont déjà très modernes dans leur approche des valeurs de l'égalité des genres et de la représentation 
. Il faut prendre en compte la diversité de ces fêtes, qui sont déjà inclusives dans certaines villes 
. Quand on impose une vision unique, c'est comme si on voulait réinventer le temps ! 
C'est intéressant que les communes comme Créon ou Grayan-et-l'Hopital soient en train de redéfinir ces fêtes avec des termes plus modernes 
.
C'est vraiment dommage qu'elles aient été rejetées ! Les Rosières sont tellement une partie intégrante de notre patrimoine culturel ! Et si elles sont trop éloignées de la vision contemporaine de la femme, ça me fait réfléchir... 
Qu'est-ce que signifie "inclusif" quand même ? 
C'est complètement ridicule qu'elles soient rejetées pour être trop "éloignées" de cette vision de la femme contemporaine qui fait du déni total... je veux dire, de l'inclusivité. Quand on pense que ces fêtes sont issues des communautés les plus modernes et engagées de France ! 
, comment ça peut pas être inclusif ? Les Rosières, c'est la France ! 
Nous avons des valeurs de liberté et d'égalité pour tout le monde... ou pas ? 
. Moi, je pense que ce projet avait des potentiels intéressants, mais il fallait trouver un moyen de l'adapter aux valeurs actuelles. Les Rosières sont déjà une partie importante de notre patrimoine culturel et elles méritent d'être préservées. Mais pourquoi pas s'en inspirer pour créer quelque chose de nouveau ? 
. Et toi, qu'est-ce que tu penses de ces fêtes ? 
. Il faut enfin accepter que notre société soit faite de toutes ces contradictions et progrès. Les Rosières sont un reflet de notre monde complexe, il est temps d'accepter ça 
.
Ce que je trouve intéressant, c'est qu'on nous dit que ces fêtes sont "trop éloignées" de cette vision, mais on nous montre des villes qui ont déjà adopté les valeurs du projet. Cela me rappelle un peu la façon dont certaines choses sont considérées comme trop "populaires" ou "provinciales" avant d'être reconnues comme valables. Il faut être prudent avec nos jugements, n'est-ce pas ? 
. Il est temps de prendre position sur la modernité et l'inclusivité des fêtes de la Rosière 
. Et pourquoi les Rosières n'étaient pas incluses dans la vision contemporaine de la femme ? C'est étonnant qu'elles soient rejetées alors que ces villes ont adopté les valeurs d'égalité et de représentation 
. Je pense que c'est une occasion de réévaluer ce projet et de le redonner vie avec une appellation plus moderne 
.
Mais tu as raison, il faut prendre position sur la modernité et l'inclusivité. Et je pense que ça pourrait marcher si on change un peu le langage... "Rosières républicaines ou citoyennes" me semble pas mauvais. On peut y voir ça comme une façon de redonner vie à ce projet sans se perdre dans les années 80.