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Le dimanche 19 octobre, la place Saint-Pierre a vu le pape Léon XIV presider une cérémonie historique pour la canonisation de sept nouveaux saints, dont deux femmes vénézuéliennes. Le Venezuela, pays caribéen qui traverse des moments difficiles, se réjouit à l'idée de voir ses deux premiers saints canonisés : Carmen Elena Rendiles et José Gregorio Hernandez.
José Gregorio Hernandez, connu sous le surnom "le médecin des pauvres", a mis sa carrière en bactériologie au service des plus démunis. Son dévouement lui vaut une aura qui dépasse largement les frontières de l'Église catholique. Il est décédé à Caracas en 1919 et son impact reste encore aujourd'hui très sensible pour le peuple vénézuélien.
La fondatrice d'une congrégation religieuse féminine, Carmen Elena Rendiles, sera également canonisée. Elle a décédé en 1977 et ses actions ont marqué une époque importante de la vie du Venezuela. Le pape Léon XIV a décidé de les canoniser, ce qui apporte un grand joye au peuple vénézuélien, qui connaît bien ces deux personnages.
Les portraits de José Gregorio Hernandez et Carmen Elena Rendiles sont partout à Caracas, et leur canonisation est considérée comme un cadeau de Dieu, surtout dans des moments difficiles pour le Venezuela. Les Vénézuéliens s'engagent à continuer le travail de ces deux figures, qui sont devenues des exemples à suivre.
Les nouveaux saints qui seront canonisés ce dimanche incluent également l'archevêque arménien Ignace Maloyan, martyr du génocide de 1915, et Peter To Rot, le premier saint de Papouasie-Nouvelle-Guinée, un catéchiste qui entra en résistance contre l'occupant japonais et mourut dans un camp de concentration en 1945. Des figures de tous les continents qui témoignent de l'universalité de l'Église catholique.
Ces sept nouveaux saints seraient un grand cadeau pour le peuple vénézuélien, qui traverse des moments difficiles. Leur canonisation est considérée comme une reconnaissance du travail de ces deux personnes, qui ont marqué leur pays de manière durable.
José Gregorio Hernandez, connu sous le surnom "le médecin des pauvres", a mis sa carrière en bactériologie au service des plus démunis. Son dévouement lui vaut une aura qui dépasse largement les frontières de l'Église catholique. Il est décédé à Caracas en 1919 et son impact reste encore aujourd'hui très sensible pour le peuple vénézuélien.
La fondatrice d'une congrégation religieuse féminine, Carmen Elena Rendiles, sera également canonisée. Elle a décédé en 1977 et ses actions ont marqué une époque importante de la vie du Venezuela. Le pape Léon XIV a décidé de les canoniser, ce qui apporte un grand joye au peuple vénézuélien, qui connaît bien ces deux personnages.
Les portraits de José Gregorio Hernandez et Carmen Elena Rendiles sont partout à Caracas, et leur canonisation est considérée comme un cadeau de Dieu, surtout dans des moments difficiles pour le Venezuela. Les Vénézuéliens s'engagent à continuer le travail de ces deux figures, qui sont devenues des exemples à suivre.
Les nouveaux saints qui seront canonisés ce dimanche incluent également l'archevêque arménien Ignace Maloyan, martyr du génocide de 1915, et Peter To Rot, le premier saint de Papouasie-Nouvelle-Guinée, un catéchiste qui entra en résistance contre l'occupant japonais et mourut dans un camp de concentration en 1945. Des figures de tous les continents qui témoignent de l'universalité de l'Église catholique.
Ces sept nouveaux saints seraient un grand cadeau pour le peuple vénézuélien, qui traverse des moments difficiles. Leur canonisation est considérée comme une reconnaissance du travail de ces deux personnes, qui ont marqué leur pays de manière durable.