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Le plan de rémunération qui a fait la une des médias ce matin n'est pas du tout un geste lucratif pour Elon Musk. Ce milliardaire, qui est déjà assis sur une fortune de 500 milliards de dollars, pourrait percevoir jusqu'à 1 000 milliards de dollars si Tesla réussit à atteindre ses objectifs. Mais pourquoi ?
Les actionnaires de la société automobile ont donné leur accord au plan, adopté par plus de 75 % des votants, qui prévoit de verser un million de dollars d'actions à Musk en dix ans. Mais pour ce faire, le patron du groupe doit atteindre une série d'objectifs ambitieux, notamment la production de 20 millions de voitures électriques dans le monde et l'installation de un million de robots humanoïdes Optimus.
Le succès hypothétique de Tesla pourrait gonfler la fortune de Musk à des niveaux inconnus. Mais quels sont les risques ?
Les actionnaires, comme Norges Bank Investment Management, qui gère le fonds souverain de Norvège, se demandent s'ils ont bien fait en donnant leur accord au plan. Le montant total de la rémunération est considéré comme exorbitant, et l'absence de mesures pour atténuer le risque lié à une personne clé est préoccupante.
Mais que les actionnaires pensaient-ils vraiment ? "Tesla n'est pas dirigée par un patron ordinaire", explique le groupe automobile. "Elon est un visionnaire". Et puis, selon les investisseurs de Baron Capital, "le succès de Tesla et son avenir sont inséparables d'Elon".
Ces derniers jours ont vu une baisse significative des ventes de Tesla dans le monde, notamment en Europe. Les immatriculations plongent de 89 % en Suède, de 86 % au Danemark, de 50 % en Norvège et de 31 % en Espagne. Mais Musk ne se laisse pas décourager. Il dit qu'il a "temps de sortir un tas de lapins du chapeau". Et il assure que ce plan n'est pas simplement un nouveau chapitre de l'histoire de Tesla, mais d'un livre tout neuf.
Les actionnaires de la société automobile ont donné leur accord au plan, adopté par plus de 75 % des votants, qui prévoit de verser un million de dollars d'actions à Musk en dix ans. Mais pour ce faire, le patron du groupe doit atteindre une série d'objectifs ambitieux, notamment la production de 20 millions de voitures électriques dans le monde et l'installation de un million de robots humanoïdes Optimus.
Le succès hypothétique de Tesla pourrait gonfler la fortune de Musk à des niveaux inconnus. Mais quels sont les risques ?
Les actionnaires, comme Norges Bank Investment Management, qui gère le fonds souverain de Norvège, se demandent s'ils ont bien fait en donnant leur accord au plan. Le montant total de la rémunération est considéré comme exorbitant, et l'absence de mesures pour atténuer le risque lié à une personne clé est préoccupante.
Mais que les actionnaires pensaient-ils vraiment ? "Tesla n'est pas dirigée par un patron ordinaire", explique le groupe automobile. "Elon est un visionnaire". Et puis, selon les investisseurs de Baron Capital, "le succès de Tesla et son avenir sont inséparables d'Elon".
Ces derniers jours ont vu une baisse significative des ventes de Tesla dans le monde, notamment en Europe. Les immatriculations plongent de 89 % en Suède, de 86 % au Danemark, de 50 % en Norvège et de 31 % en Espagne. Mais Musk ne se laisse pas décourager. Il dit qu'il a "temps de sortir un tas de lapins du chapeau". Et il assure que ce plan n'est pas simplement un nouveau chapitre de l'histoire de Tesla, mais d'un livre tout neuf.