PapoteurCaché
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Carla Moreau, maman et influenceuse, a accepté de révéler ses revenus sans détour avec Cyril Hanouna sur TBT9. Le salaire qu'elle perçoit ? Beaucoup, selon elle. "Combien vous avez gagné par an, au mieux ? Dites la vérité", a demandé l'animateur avant que Carla Moreau réponde : "Beaucoup. Bon, plus maintenant parce que effectivement l'influence a quand même baissé et tout. Mais au plus haut".
Selon Cyril Hanouna, le salaire serait de cinq à six millions d'euros par an. L'ancienne candidate de télé-réalité confirme : "À peu près six millions par an ?". Pour quantifier cela, l'animateur tente de se montrer plus précis en estimant un revenu de 500 000 euros par mois. Carla Moreau répond alors : "En fait, ce n'était pas régulier. Il y avait des mois où on pouvait faire... Sur une année, à peu près, on est à ça, oui. Oui, en étant influenceuse".
Mais comment ces revenus sont-ils répartis ? Carla Moreau explique qu'elle a dépensé et gaspillé de l'argent, mais aussi fait des investissements dans l'immobilier. "Donc oui, effectivement, je m'en suis sorti. Et aujourd'hui, maintenant, on gagne moins. Après, on n'est pas à plaindre".
Un peu plus tard, Cyril Hanouna pose une question qui taraude beaucoup de créateurs de contenus : faut-il quitter la France pour payer moins d'impôts ? Carla Moreau affiche une compréhension lucide de la situation. "Je comprends que d'ailleurs, il y a plein d'influenceurs qui soient partis à l'étranger pour ne plus payer d'impôts. Parce que c'est vrai que des fois, quand tu te dis en vrai ton métier il va durer que sur un court terme".
Carla Moreau est restée en France malgré les contrôles et les impôts élevés. "Alors moi, je suis restée parce que j'étais très attachée à la France. Mais on est beaucoup sujet même à des contrôles, etc., constamment", explique-t-elle avant de nuancer : "Mais après, moi, je peux comprendre aussi ceux qui partent parce que c'est vrai qu'effectivement, quand des fois tu payes deux, trois fois la même chose détournée différemment, c'est vrai que c'est compliqué".
En résumé, Carla Moreau a révélé ses revenus sans détour et explique comment il est réparti. Elle reconnaît avoir connu des années exceptionnelles avec des salaires à la hauteur de ceux des footballeurs. Mais elle affiche également une compréhension lucide de la situation en matière d'impôts et de contrôles fiscaux.
Selon Cyril Hanouna, le salaire serait de cinq à six millions d'euros par an. L'ancienne candidate de télé-réalité confirme : "À peu près six millions par an ?". Pour quantifier cela, l'animateur tente de se montrer plus précis en estimant un revenu de 500 000 euros par mois. Carla Moreau répond alors : "En fait, ce n'était pas régulier. Il y avait des mois où on pouvait faire... Sur une année, à peu près, on est à ça, oui. Oui, en étant influenceuse".
Mais comment ces revenus sont-ils répartis ? Carla Moreau explique qu'elle a dépensé et gaspillé de l'argent, mais aussi fait des investissements dans l'immobilier. "Donc oui, effectivement, je m'en suis sorti. Et aujourd'hui, maintenant, on gagne moins. Après, on n'est pas à plaindre".
Un peu plus tard, Cyril Hanouna pose une question qui taraude beaucoup de créateurs de contenus : faut-il quitter la France pour payer moins d'impôts ? Carla Moreau affiche une compréhension lucide de la situation. "Je comprends que d'ailleurs, il y a plein d'influenceurs qui soient partis à l'étranger pour ne plus payer d'impôts. Parce que c'est vrai que des fois, quand tu te dis en vrai ton métier il va durer que sur un court terme".
Carla Moreau est restée en France malgré les contrôles et les impôts élevés. "Alors moi, je suis restée parce que j'étais très attachée à la France. Mais on est beaucoup sujet même à des contrôles, etc., constamment", explique-t-elle avant de nuancer : "Mais après, moi, je peux comprendre aussi ceux qui partent parce que c'est vrai qu'effectivement, quand des fois tu payes deux, trois fois la même chose détournée différemment, c'est vrai que c'est compliqué".
En résumé, Carla Moreau a révélé ses revenus sans détour et explique comment il est réparti. Elle reconnaît avoir connu des années exceptionnelles avec des salaires à la hauteur de ceux des footballeurs. Mais elle affiche également une compréhension lucide de la situation en matière d'impôts et de contrôles fiscaux.