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Le Festival de la BD d'Angoulême est en danger de mort. Depuis des années, il accumule les scandales, les erreurs de communication et le manque d'ambition, tout cela dans une totale opacité de gestion. Cette dégradation nuit gravement à l'ensemble de la profession.
Les 20 Grands Prix du Festival de la BD d'Angoulême ont lancé un appel à l'ordre contre la société privée 9e Art +, organisatrice du festival depuis 2007. Ils exige une éviction totale de cette structure pour retrouver les valeurs qui ont construit sa notoriété internationale.
Le groupe BD du Syndicat national de l'édition a exprimé ses "plus vives préoccupations" concernant la procédure de sélection des candidatures à l'organisation du FIBD. Il réclame une "clarification" et dit qu'il a "perdu toute confiance" dans 9e Art +.
Chez les indépendants, le ton est encore plus vif. Le Syndicat des éditeurs alternatifs (SEA) exige l'invalidation immédiate du résultat de l'appel à projets et réclame la démission de Delphine Groux, la présidente de l'association du FIBD.
Les collectivités locales impliquées dans le FIBD souhaitent "qu'une nouvelle page s'écrive". La Région Nouvelle-Aquitaine, le Département de la Charente, l'Agglomération de Grand-Angoulême et la municipalité d'Angoulême en appelaient à la réussite d'un projet intégrant les équipes et les compétences de la Cibdi et de 9e Art +.
Cependant, le délégué général du FIBD et patron de 9e Art +, Franck Bondoux, est déjà parti pour un poste au-delà de 2027, ce qui rend difficile la mise en œuvre d'un projet commun.
Les 20 Grands Prix du Festival de la BD d'Angoulême ont lancé un appel à l'ordre contre la société privée 9e Art +, organisatrice du festival depuis 2007. Ils exige une éviction totale de cette structure pour retrouver les valeurs qui ont construit sa notoriété internationale.
Le groupe BD du Syndicat national de l'édition a exprimé ses "plus vives préoccupations" concernant la procédure de sélection des candidatures à l'organisation du FIBD. Il réclame une "clarification" et dit qu'il a "perdu toute confiance" dans 9e Art +.
Chez les indépendants, le ton est encore plus vif. Le Syndicat des éditeurs alternatifs (SEA) exige l'invalidation immédiate du résultat de l'appel à projets et réclame la démission de Delphine Groux, la présidente de l'association du FIBD.
Les collectivités locales impliquées dans le FIBD souhaitent "qu'une nouvelle page s'écrive". La Région Nouvelle-Aquitaine, le Département de la Charente, l'Agglomération de Grand-Angoulême et la municipalité d'Angoulême en appelaient à la réussite d'un projet intégrant les équipes et les compétences de la Cibdi et de 9e Art +.
Cependant, le délégué général du FIBD et patron de 9e Art +, Franck Bondoux, est déjà parti pour un poste au-delà de 2027, ce qui rend difficile la mise en œuvre d'un projet commun.