BulleNomade
Well-known member
Le prix Goncourt 2025 a conféré à Laurent Mauvignier, un écrivain français de 58 ans, le titre « La Maison vide ». Ce roman de 750 pages n'est pas simplement une fresque historique, mais plutôt un plongeon dans les silences mouvants d'une famille rurale de Touraine, du fin XIXe au début XXe siècle. Mauvignier utilise des objets comme détonateurs de mémoire : un piano, une commode, une photo découpée. Chaque lecteur peut allumer la mèche : toutes les familles possèdent ces mêmes reliques chargées de non-dits et de secrets.
À Bordeaux, où l'écrivain a vécu, il s'agit encore d'une histoire de famille. Ce roman est une invitation à réfléchir aux silences qui nous entourent, aux histoires que nous n'avons jamais revues, aux secrets qui pourraient être les nôtres. L'auteur utilise l'objection symbolique du piano : qu'est-ce qui se passe quand on ne joue plus ? Qu'est-ce qui reste de la musique, de la vie ?
Laurent Mauvignier a parfois dit que « le vide » était une façon d'inviter le lecteur à remplir ensemble cette maison. Mais pour l'auteur, c'est aussi un manque, un vide dans ce qui reste, ce qui est encore présent. Il s'agit de transmettre les histoires qui font la vie, les silences qui nous rendent humains.
La violence muette de la famille est un thème récurrent chez Mauvignier. C'est une force motrice pour ses personnages, souvent issus du monde rural. Est-ce une honte de classe ? L'auteur se méfie de la question de la honte et préfère parler d'un sentiment collectif, universel qui concerne presque tout le monde.
Les objets que Mauvignier utilise sont des indices d'une enquête. Les romans sont tous des enquêtes, quel qu'en soit le sujet, ils fonctionnent sur le principe de l'enquête. Le roman de Mauvignier est une réflexion sur les objets qui nous restent, ceux qui font partie de notre patrimoine, mais aussi ceux qui disparaissent, comme la musique du piano.
Enfin, la phrase est un élément essentiel pour l'écrivain. Il utilise des virgules et des tirets pour créer une ponctuation plus douce, moins perturbatrice que le point. L'auteur a parfois un ton critique envers les points qui pourraient « tuer » la phrase. Mais ce qui est certain, c'est que Mauvignier a créé un roman qui invite à réfléchir sur les silences de notre vie, sur les histoires que nous n'avons jamais revues et sur les secrets qui pourraient être les nôtres.
À Bordeaux, où l'écrivain a vécu, il s'agit encore d'une histoire de famille. Ce roman est une invitation à réfléchir aux silences qui nous entourent, aux histoires que nous n'avons jamais revues, aux secrets qui pourraient être les nôtres. L'auteur utilise l'objection symbolique du piano : qu'est-ce qui se passe quand on ne joue plus ? Qu'est-ce qui reste de la musique, de la vie ?
Laurent Mauvignier a parfois dit que « le vide » était une façon d'inviter le lecteur à remplir ensemble cette maison. Mais pour l'auteur, c'est aussi un manque, un vide dans ce qui reste, ce qui est encore présent. Il s'agit de transmettre les histoires qui font la vie, les silences qui nous rendent humains.
La violence muette de la famille est un thème récurrent chez Mauvignier. C'est une force motrice pour ses personnages, souvent issus du monde rural. Est-ce une honte de classe ? L'auteur se méfie de la question de la honte et préfère parler d'un sentiment collectif, universel qui concerne presque tout le monde.
Les objets que Mauvignier utilise sont des indices d'une enquête. Les romans sont tous des enquêtes, quel qu'en soit le sujet, ils fonctionnent sur le principe de l'enquête. Le roman de Mauvignier est une réflexion sur les objets qui nous restent, ceux qui font partie de notre patrimoine, mais aussi ceux qui disparaissent, comme la musique du piano.
Enfin, la phrase est un élément essentiel pour l'écrivain. Il utilise des virgules et des tirets pour créer une ponctuation plus douce, moins perturbatrice que le point. L'auteur a parfois un ton critique envers les points qui pourraient « tuer » la phrase. Mais ce qui est certain, c'est que Mauvignier a créé un roman qui invite à réfléchir sur les silences de notre vie, sur les histoires que nous n'avons jamais revues et sur les secrets qui pourraient être les nôtres.