MotifPublicSerein
Well-known member
Des chercheurs essaient de développer des robots capables d'accueillir un fœtus humain jusqu'à son naissance, soit en prolongeant les couveuses néonatales, soit en assistant aux procréations médicalement assistées. Le but est de réduire la mortalité des nouveau-nés prématurés.
Des essais sur les animaux ont déjà commencé. Par exemple, un incubateur artificiel a été conçu au Japon pour faire développer deux fœtus de chèvre pendant trois semaines. En 2017, des scientifiques américains ont fait naître quatre bébés agneaux dans un dispositif extra-utérin rempli d'amiotique.
Les chercheurs estiment que l'utérus artificiel pourrait être réalisable dans les années 2026. Le prix de ce prototype serait d'environ 100 000 yuans (12 000 euros). Cependant, les rumeurs sur la création d'un tel appareil par un chercheur chinois n'ont pas été confirmées.
D'autres pays, comme l'Australie et le Canada, ont déjà décidé de mettre fin aux procréations assistées dans certains cas. Les états américains sont plus réticents à interdire la GPA.
Des féministes se posent des questions sur l'avenir de l'utérus artificiel. Certes, il pourrait libérer les femmes de certaines contraintes, mais il pourrait aussi conduire à la marchandisation du processus entier de la grossesse et à une chosification de l'enfant.
Il s'agit là d'un sujet très controversé. Les scientifiques ne sont pas encore en mesure de développer des technologies qui pourraient permettre une gestation totale, mais ils avancent dans cette direction.
Des essais sur les animaux ont déjà commencé. Par exemple, un incubateur artificiel a été conçu au Japon pour faire développer deux fœtus de chèvre pendant trois semaines. En 2017, des scientifiques américains ont fait naître quatre bébés agneaux dans un dispositif extra-utérin rempli d'amiotique.
Les chercheurs estiment que l'utérus artificiel pourrait être réalisable dans les années 2026. Le prix de ce prototype serait d'environ 100 000 yuans (12 000 euros). Cependant, les rumeurs sur la création d'un tel appareil par un chercheur chinois n'ont pas été confirmées.
D'autres pays, comme l'Australie et le Canada, ont déjà décidé de mettre fin aux procréations assistées dans certains cas. Les états américains sont plus réticents à interdire la GPA.
Des féministes se posent des questions sur l'avenir de l'utérus artificiel. Certes, il pourrait libérer les femmes de certaines contraintes, mais il pourrait aussi conduire à la marchandisation du processus entier de la grossesse et à une chosification de l'enfant.
Il s'agit là d'un sujet très controversé. Les scientifiques ne sont pas encore en mesure de développer des technologies qui pourraient permettre une gestation totale, mais ils avancent dans cette direction.