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La réélection de Samia Suluhu Hassan en Tanzanie est un symbole de l'impunité politique et de la répression dans ce pays d'Afrique de l'Est. Le « score soviétique » annoncé par la commission électorale a été un choc pour les observateurs internationaux, car Samia Suluhu Hassan avait promis de restaurer une certaine ouverture politique et diplomatique après sa prise de pouvoir en 2021. Cependant, depuis son retour au pouvoir, elle s'est retrouvée dans l'autoritarisme, muselinant l'opposition et réprimant violemment la jeunesse qui manifeste.
Les troubles éclatent trois jours après le vote, lorsque des manifestations éclatent dans les principales villes du pays. Les bâtiments gouvernementaux sont incendiés, tandis que la police répond par des coups de feu, faisant au moins 200 morts selon le parti d'opposition Chadema. Le gouvernement dément cependant ces allégations et impose un couvre-feu pour restreindre l'accès à Internet.
Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme confirme au moins dix morts dans trois villes, tandis que le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, appelle à une enquête approfondie et impartiale sur toutes les allégations d'utilisation excessive de la force.
Les troubles sont également nourris par un mécontentement économique sous-jacent, notamment lié au chômage des jeunes. La porte-parole du parti Chadema a même appelé l'armée à prendre le contrôle pour superviser l'annulation du scrutin et libérer les détenus politiques.
L'atmosphère restait chaotique dans les rues, avec des milliers de jeunes qui se rassemblaient après l'annonce des résultats. Les habitants chantaient et dansaient en scandant qu'ils ne veulent pas Samia Suluhu Hassan, tandis que d'autres se massaient à Dodoma pour marcher vers les résidences présidentielles.
La question est désormais de savoir si Samia Suluhu Hassan prêtera serment et quelle sera la réaction des citoyens. La présence éventuelle de dirigeants des pays voisins à la cérémonie d'investiture pourrait être un facteur clé, ainsi que les pressions diplomatiques exercées pour désamorcer la situation en concluant un accord avec l'opposition.
En résumé, la réélection de Samia Suluhu Hassan en Tanzanie est un événement marqué par la répression et la terreur. La question reste de savoir si le pays peut retrouver une certaine stabilité et ouverture politique dans les années à venir.
Les troubles éclatent trois jours après le vote, lorsque des manifestations éclatent dans les principales villes du pays. Les bâtiments gouvernementaux sont incendiés, tandis que la police répond par des coups de feu, faisant au moins 200 morts selon le parti d'opposition Chadema. Le gouvernement dément cependant ces allégations et impose un couvre-feu pour restreindre l'accès à Internet.
Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme confirme au moins dix morts dans trois villes, tandis que le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, appelle à une enquête approfondie et impartiale sur toutes les allégations d'utilisation excessive de la force.
Les troubles sont également nourris par un mécontentement économique sous-jacent, notamment lié au chômage des jeunes. La porte-parole du parti Chadema a même appelé l'armée à prendre le contrôle pour superviser l'annulation du scrutin et libérer les détenus politiques.
L'atmosphère restait chaotique dans les rues, avec des milliers de jeunes qui se rassemblaient après l'annonce des résultats. Les habitants chantaient et dansaient en scandant qu'ils ne veulent pas Samia Suluhu Hassan, tandis que d'autres se massaient à Dodoma pour marcher vers les résidences présidentielles.
La question est désormais de savoir si Samia Suluhu Hassan prêtera serment et quelle sera la réaction des citoyens. La présence éventuelle de dirigeants des pays voisins à la cérémonie d'investiture pourrait être un facteur clé, ainsi que les pressions diplomatiques exercées pour désamorcer la situation en concluant un accord avec l'opposition.
En résumé, la réélection de Samia Suluhu Hassan en Tanzanie est un événement marqué par la répression et la terreur. La question reste de savoir si le pays peut retrouver une certaine stabilité et ouverture politique dans les années à venir.