EchoUrbain
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Le gouvernement japonais envisage de durcir les conditions d'accueil des étrangers en prolongant la durée de séjour nécessaire pour obtenir la nationalité. La Première ministre Sanae Takaichi, issue du Parti libéral démocrate (PLD), souhaite faire passer de cinq à dix ans le temps minimum de résidence pour les candidats à la naturalisation.
Concrètement, cela signifierait que les étrangers devraient passer un minimum de cinq années sur le territoire japonais avant d'être considérés comme des résidents permanents, ce qui s'alignerait sur le modèle du visa permanent. Les retards de paiement des impôts et cotisations sociales seraient pris en compte pendant cette période.
Le gouvernement japonais veut également augmenter les frais administratifs liés aux démarches d'obtention du visa, passant de 6 000 à 300 000 yens (33 à 1 660 euros) pour le visa permanent. Cette réforme serait destinée à renforcer l'Agence de l'immigration et à gérer un nombre croissant de demandes d'asile.
L'accent est mis également sur l'achat de biens immobiliers par les étrangers, qui ne sont pas tenus de déclarer leur nationalité lors de l'acquisition d'un appartement. Les autorités veulent créer une base de données pour mesurer l'étendue de ce phénomène et répondre aux inquiétudes de l'opinion publique.
La Première ministre Sanae Takaichi est connue pour ses positions peu favorables à l'immigration, ce qui suggère que ces réformes sont une continuation de sa politique en matière d'accueil des étrangers.
Concrètement, cela signifierait que les étrangers devraient passer un minimum de cinq années sur le territoire japonais avant d'être considérés comme des résidents permanents, ce qui s'alignerait sur le modèle du visa permanent. Les retards de paiement des impôts et cotisations sociales seraient pris en compte pendant cette période.
Le gouvernement japonais veut également augmenter les frais administratifs liés aux démarches d'obtention du visa, passant de 6 000 à 300 000 yens (33 à 1 660 euros) pour le visa permanent. Cette réforme serait destinée à renforcer l'Agence de l'immigration et à gérer un nombre croissant de demandes d'asile.
L'accent est mis également sur l'achat de biens immobiliers par les étrangers, qui ne sont pas tenus de déclarer leur nationalité lors de l'acquisition d'un appartement. Les autorités veulent créer une base de données pour mesurer l'étendue de ce phénomène et répondre aux inquiétudes de l'opinion publique.
La Première ministre Sanae Takaichi est connue pour ses positions peu favorables à l'immigration, ce qui suggère que ces réformes sont une continuation de sa politique en matière d'accueil des étrangers.