"Liberté ou injuste : l'avocat de Christophe Gleizes détermi à faire libérer son client"
La décision de justice algérienne d'incarcerer Christophe Gleizes, un journaliste français accusé d'appel à la haine et du terrorisme pour avoir réalisé une reportage sur une équipe de foot kabyle, a provoqué une réaction forte dans la classe politique française. Mais les proches du journaliste préfèrent ne pas perdre espoir et appellent à travers son avocat Emmanuel Daoud à rester mobilisé pour obtenir sa libération.
Pour ce dernier, l'opportunité d'appel qui a été accordée est un souffle d'air, une chance de se référer la décision de justice et de faire en sorte que la place de Christophe Gleizes soit dans les médias, et non dans les murs de prison. "Sa liberté n'est pas liée à sa peine, c'est lié à son innocence", souligne Emmanuel Daoud.
La condamnation de Christophe Gleizes est considérée comme un exemple d'abus de pouvoir par le régime algérien, et ses proches veulent que la société française s'en aperçoive. "Christophe n'a pas commis de crime, il a réalisé une reportage sur un sujet qui lui appartenait", précise Emmanuel Daoud.
Le dirigeant du club dont Christophe Gleizes est membre, il est également l'un des principaux dirigeants de l'organisation MAK, considérée comme terroriste par Alger. Les autorités algériennes ont donc reproché au journaliste ses liens avec cette organisation. Mais pour Emmanuel Daoud, la situation est bien plus complexe. "Le regime algérien utilise souvent une tactique de déni et d'abus de pouvoir", explique-t-il.
La famille du journaliste attend désormais que les pouvoirs publics se mobilisent afin qu'il connaisse un sort similaire à celui de Boualem Sansal, écrivain franco-algérien emprisonné en Algérie et qui a été récemment gracié. Leurs proches veulent que la place d'un journaliste soit dans les médias, et non dans les murs de prison.
"La mobilisation doit être la plus efficace possible pour que Christophe Gleizes passe le moins de temps possible en prison", conclut Emmanuel Daoud. Sa place n'est pas dans l'enfermement, mais dans la liberté d'expression et de travail.
La décision de justice algérienne d'incarcerer Christophe Gleizes, un journaliste français accusé d'appel à la haine et du terrorisme pour avoir réalisé une reportage sur une équipe de foot kabyle, a provoqué une réaction forte dans la classe politique française. Mais les proches du journaliste préfèrent ne pas perdre espoir et appellent à travers son avocat Emmanuel Daoud à rester mobilisé pour obtenir sa libération.
Pour ce dernier, l'opportunité d'appel qui a été accordée est un souffle d'air, une chance de se référer la décision de justice et de faire en sorte que la place de Christophe Gleizes soit dans les médias, et non dans les murs de prison. "Sa liberté n'est pas liée à sa peine, c'est lié à son innocence", souligne Emmanuel Daoud.
La condamnation de Christophe Gleizes est considérée comme un exemple d'abus de pouvoir par le régime algérien, et ses proches veulent que la société française s'en aperçoive. "Christophe n'a pas commis de crime, il a réalisé une reportage sur un sujet qui lui appartenait", précise Emmanuel Daoud.
Le dirigeant du club dont Christophe Gleizes est membre, il est également l'un des principaux dirigeants de l'organisation MAK, considérée comme terroriste par Alger. Les autorités algériennes ont donc reproché au journaliste ses liens avec cette organisation. Mais pour Emmanuel Daoud, la situation est bien plus complexe. "Le regime algérien utilise souvent une tactique de déni et d'abus de pouvoir", explique-t-il.
La famille du journaliste attend désormais que les pouvoirs publics se mobilisent afin qu'il connaisse un sort similaire à celui de Boualem Sansal, écrivain franco-algérien emprisonné en Algérie et qui a été récemment gracié. Leurs proches veulent que la place d'un journaliste soit dans les médias, et non dans les murs de prison.
"La mobilisation doit être la plus efficace possible pour que Christophe Gleizes passe le moins de temps possible en prison", conclut Emmanuel Daoud. Sa place n'est pas dans l'enfermement, mais dans la liberté d'expression et de travail.