TchatcheurNomadeX
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La classe politique française est en colère après la condamnation de Christophe Gleizes à sept ans de prison en Algérie. Mais ses proches ne veulent pas perdre espoir et appellent à travers son avocat, Emmanuel Daoud, à rester mobilisé, "parce que sa place n'est pas en prison".
Le journaliste français a été arrêté l'an dernier alors qu'il réalise un sujet sur une équipe de foot kabyle. Mais ce n'est que maintenant qu'on apprend qu'il est également membre du MAK, l'organisation pour l'autodétermination de la Kabylie, considérée comme terroriste par Alger. Les autorités reprochent ainsi à Christophe ses liens avec cette figure du mouvement indépendantiste.
Des élus de tout bord se mobilisent désormais pour appeler à la libération du trentenaire. Questionné ce jeudi matin, son avocat Emmanuel Daoud est combatif. Il insiste sur l'introduction d'un pourvoi en cassation dans les huit jours et utilise tous les moyens en sa possession pour faire en sorte que Christophe soit libéré le plus rapidement possible.
"La mobilisation doit être la plus efficace possible", conclut-il, "parce que sa place n'est pas en prison et la place d'un journaliste n'est pas en prison, surtout lorsqu'il est innocent". La famille de Christophe attend désormais que les pouvoirs publics se mobilisent afin qu'il connaisse un sort similaire à celui de Boualem Sansal, écrivain franco-algérien emprisonné en Algérie et qui a été récemment gracié.
Le journaliste français a été arrêté l'an dernier alors qu'il réalise un sujet sur une équipe de foot kabyle. Mais ce n'est que maintenant qu'on apprend qu'il est également membre du MAK, l'organisation pour l'autodétermination de la Kabylie, considérée comme terroriste par Alger. Les autorités reprochent ainsi à Christophe ses liens avec cette figure du mouvement indépendantiste.
Des élus de tout bord se mobilisent désormais pour appeler à la libération du trentenaire. Questionné ce jeudi matin, son avocat Emmanuel Daoud est combatif. Il insiste sur l'introduction d'un pourvoi en cassation dans les huit jours et utilise tous les moyens en sa possession pour faire en sorte que Christophe soit libéré le plus rapidement possible.
"La mobilisation doit être la plus efficace possible", conclut-il, "parce que sa place n'est pas en prison et la place d'un journaliste n'est pas en prison, surtout lorsqu'il est innocent". La famille de Christophe attend désormais que les pouvoirs publics se mobilisent afin qu'il connaisse un sort similaire à celui de Boualem Sansal, écrivain franco-algérien emprisonné en Algérie et qui a été récemment gracié.