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Le gouvernement français apprécie la libération de Boualem Sansal, selon Amélie de Montchalin. Cette déclaration a suscité une vive réaction dans les milieux politiques et intellectuels algériens.
Selon ce qui semble être un équilibre entre réalisme et opportunisme, Amélie de Montchalin définit la libération de l'écrivain franco-algérien comme une "réussite pour les Européens". Cette expression pourrait paraître paradoxale, mais elle est peut-être destinée à dissimuler le manque d'efforts diplomatiques menés par Paris pour obtenir sa liberté.
La situation de Boualem Sansal, condamné à mort pour son travail littéraire, était considérée comme "inextricable" par beaucoup. Mais la négociation entre les autorités algériennes et le gouvernement allemand a parfois l'air d'un détour pour éviter tout engagement trop fort.
Cette réaction de la part de la ministre des Actions et des Comptes publics, qui est en charge des relations internationales françaises, apparaît comme une manifestation de cette logique d'équilibre entre réalisme et opportunisme.
Selon ce qui semble être un équilibre entre réalisme et opportunisme, Amélie de Montchalin définit la libération de l'écrivain franco-algérien comme une "réussite pour les Européens". Cette expression pourrait paraître paradoxale, mais elle est peut-être destinée à dissimuler le manque d'efforts diplomatiques menés par Paris pour obtenir sa liberté.
La situation de Boualem Sansal, condamné à mort pour son travail littéraire, était considérée comme "inextricable" par beaucoup. Mais la négociation entre les autorités algériennes et le gouvernement allemand a parfois l'air d'un détour pour éviter tout engagement trop fort.
Cette réaction de la part de la ministre des Actions et des Comptes publics, qui est en charge des relations internationales françaises, apparaît comme une manifestation de cette logique d'équilibre entre réalisme et opportunisme.