"La résistance portlandaise, un éclat de joie face aux menaces de Trump"
Dans le nord-ouest des États-Unis, la ville de Portland est devenue la cible de l'attention constante du président américain Donald Trump. Pour lui, ce sont les "bombes" et les "anarchistes" qui rôdent dans les rues. Mais sur place, les habitants ont un autre regard.
Lors d'une soirée de manifestation pacifique réunissant des manifestants vêtus de costumes de hippopotames, de grenouilles et de licornes, personne ne parle de guerre ni de violences. Ce sont les rythmes de Rock Lobster des B-52's qui résonnent dans les rues. C'est la "résistance par la joie" que les habitants portlandais ont créée pour défendre leur liberté d'expression face aux attaques du président.
"Avec lui, on est condamné à être des extrémistes violents", explique Chell Surber, une manifestante qui travaille au jour et prend la parole le soir. "Mais ce n'est pas vrai. Nous sommes juste une bande de gens simples cherchant à se défendre."
Ailleurs dans la ville, les problèmes de drogue et de sans-abri sont bien réels, mais personne ne parle d'eux là-bas. Seul Trump voit des "problèmes" aigus qui nécessitent l'intervention de la garde nationale.
Mais pour Portland, il s'agit d'une histoire complètement différente. Ici, la résistance est faite de sourires et de rythmes, pas de barricades et de pierres.
Dans le nord-ouest des États-Unis, la ville de Portland est devenue la cible de l'attention constante du président américain Donald Trump. Pour lui, ce sont les "bombes" et les "anarchistes" qui rôdent dans les rues. Mais sur place, les habitants ont un autre regard.
Lors d'une soirée de manifestation pacifique réunissant des manifestants vêtus de costumes de hippopotames, de grenouilles et de licornes, personne ne parle de guerre ni de violences. Ce sont les rythmes de Rock Lobster des B-52's qui résonnent dans les rues. C'est la "résistance par la joie" que les habitants portlandais ont créée pour défendre leur liberté d'expression face aux attaques du président.
"Avec lui, on est condamné à être des extrémistes violents", explique Chell Surber, une manifestante qui travaille au jour et prend la parole le soir. "Mais ce n'est pas vrai. Nous sommes juste une bande de gens simples cherchant à se défendre."
Ailleurs dans la ville, les problèmes de drogue et de sans-abri sont bien réels, mais personne ne parle d'eux là-bas. Seul Trump voit des "problèmes" aigus qui nécessitent l'intervention de la garde nationale.
Mais pour Portland, il s'agit d'une histoire complètement différente. Ici, la résistance est faite de sourires et de rythmes, pas de barricades et de pierres.