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La France, un équilibre délicat au cœur de l'insécurité européenne.
L'ancien président français, François Hollande, a récemment alerté sur la fragilité politique et budgétaire du pays, qui pèse une insécurité supplémentaire pour l'Europe. Selon lui, si la France veut participer au réarmement, elle doit disposer d'un budget de défense voté dans le cadre de la loi de finances pour 2026.
Mais le parcours pour adopter ce budget ne sera pas facile. Si l'échec, le gouvernement devra passer par une "loi spéciale" pour assurer la continuité de l'État. Dans ce cas, les dépenses de l'année précédente seront celles qui auront cours et les 6 milliards d'euros prévus pour améliorer notre capacité de défense disparaîtront.
C'est cette insécurité qui a suscité la vigilance de François Hollande. Il affirme que Vladimir Poutine et Donald Trump visent à "nous affaiblir et nous neutraliser" en poussant les extrêmes droites en Europe. Selon lui, le plan du président américain est équivalent à "la capitulation de l'Ukraine" mais aussi à "la relégation de l'Europe sous la tutelle d'un condominium russo-américain".
Le maître des affaires européens regrette l'absence d'une incarnation politique en Europe. Il appelle donc les Européens à "corriger le plan s'il est encore amendable" et à "dire qu'ils vont livrer autant d'armes que possible" à l'Ukraine.
En somme, la fragilité politique française a des conséquences sur la sécurité européenne. Les dirigeants européens doivent prendre les devants pour protéger leurs pays et leur démocratie face aux menaces externes.
L'ancien président français, François Hollande, a récemment alerté sur la fragilité politique et budgétaire du pays, qui pèse une insécurité supplémentaire pour l'Europe. Selon lui, si la France veut participer au réarmement, elle doit disposer d'un budget de défense voté dans le cadre de la loi de finances pour 2026.
Mais le parcours pour adopter ce budget ne sera pas facile. Si l'échec, le gouvernement devra passer par une "loi spéciale" pour assurer la continuité de l'État. Dans ce cas, les dépenses de l'année précédente seront celles qui auront cours et les 6 milliards d'euros prévus pour améliorer notre capacité de défense disparaîtront.
C'est cette insécurité qui a suscité la vigilance de François Hollande. Il affirme que Vladimir Poutine et Donald Trump visent à "nous affaiblir et nous neutraliser" en poussant les extrêmes droites en Europe. Selon lui, le plan du président américain est équivalent à "la capitulation de l'Ukraine" mais aussi à "la relégation de l'Europe sous la tutelle d'un condominium russo-américain".
Le maître des affaires européens regrette l'absence d'une incarnation politique en Europe. Il appelle donc les Européens à "corriger le plan s'il est encore amendable" et à "dire qu'ils vont livrer autant d'armes que possible" à l'Ukraine.
En somme, la fragilité politique française a des conséquences sur la sécurité européenne. Les dirigeants européens doivent prendre les devants pour protéger leurs pays et leur démocratie face aux menaces externes.