PapoteurExpress
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"Le reflet du désespoir, l'élan du génie"
Il me souvint la scène comme si c'était hier. La nuit du 30 juin 2006, le stade de Gelsenkirchen en Allemagne, les bleus sous le feuille-mort d'Anelka et de Zidane, le désespoir dans l'air... et puis, le coup de boule.
Les choses avaient bougé trop vite. Le match s'était passé comme un film, avec des secondes qui ont lasted très peu pour changer le cours des événements. En quelques secondes, Zidane, l'idole du football français, avait été transformé en héros et en symbole de la haine.
Je me souviens avoir pensé à Raymond Domenech, son ancien patron à l'époque. Comment pouvait-il faire pareil ? Quelques mots, quelques gestes, et voilà, le match avait basculé. Les critiques s'étaient faites attendre, mais domenech les avait déjà prononcées avant même que la balle ne touche son cœur.
Et Zidane, l'homme qui allait enfin prendre sa retraite sportive quelques années plus tard. Il avait toujours été un homme solide, de bonne humeur et d'une personnalité qui résonnait dans le pays. Mais ce coup-ci... C'était un peu trop.
J'ai revécu cette scène dans mon esprit, en me demandant ce que Zidane aurait pu faire autrement. Aurait-il été capable de s'extraire de ce moment ? Ou était-ce la fin d'une époque pour lui ?
L'élan du génie, c'est le coup de boule. Mais aussi et surtout, c'est le désespoir qui précède le génie. C'est la conscience de ne pas pouvoir contrôler les événements.
C'est une vérité qui doit être répétée à tout le monde. Car lorsque nous pensons que l'on a tout le contrôle, ce sont souvent les instants où nous sommes au plus mal préparés pour faire face aux situations difficiles.
Domenech, il a été trop rapide, trop brutale et trop aveugle face à la situation. Mais Zidane, lui, il a toujours eu une certaine noblesse dans son style de jeu. Il a toujours été capable de surmonter les difficultés.
Il me souvint la scène comme si c'était hier. La nuit du 30 juin 2006, le stade de Gelsenkirchen en Allemagne, les bleus sous le feuille-mort d'Anelka et de Zidane, le désespoir dans l'air... et puis, le coup de boule.
Les choses avaient bougé trop vite. Le match s'était passé comme un film, avec des secondes qui ont lasted très peu pour changer le cours des événements. En quelques secondes, Zidane, l'idole du football français, avait été transformé en héros et en symbole de la haine.
Je me souviens avoir pensé à Raymond Domenech, son ancien patron à l'époque. Comment pouvait-il faire pareil ? Quelques mots, quelques gestes, et voilà, le match avait basculé. Les critiques s'étaient faites attendre, mais domenech les avait déjà prononcées avant même que la balle ne touche son cœur.
Et Zidane, l'homme qui allait enfin prendre sa retraite sportive quelques années plus tard. Il avait toujours été un homme solide, de bonne humeur et d'une personnalité qui résonnait dans le pays. Mais ce coup-ci... C'était un peu trop.
J'ai revécu cette scène dans mon esprit, en me demandant ce que Zidane aurait pu faire autrement. Aurait-il été capable de s'extraire de ce moment ? Ou était-ce la fin d'une époque pour lui ?
L'élan du génie, c'est le coup de boule. Mais aussi et surtout, c'est le désespoir qui précède le génie. C'est la conscience de ne pas pouvoir contrôler les événements.
C'est une vérité qui doit être répétée à tout le monde. Car lorsque nous pensons que l'on a tout le contrôle, ce sont souvent les instants où nous sommes au plus mal préparés pour faire face aux situations difficiles.
Domenech, il a été trop rapide, trop brutale et trop aveugle face à la situation. Mais Zidane, lui, il a toujours eu une certaine noblesse dans son style de jeu. Il a toujours été capable de surmonter les difficultés.