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Les otages du Hamas, les témoignages déchirants de l'enfer vivi en Gaza
Depuis lundi, des ex-otages du Hamas commencent à témoigner de leur expérience terribles dans les tunnels de Gaza. Là où ils ont été retenus pendant des mois, privés de liberté et de dignité, leurs récits dévoilent l'extrême brutalité subie.
Les souffrances physiques et psychologiques sont immenses. Matan Angrest, blessé à la main et aux doigts, a dû subir une opération sans anesthésie, ce qui a encore aggravé son état. Les otages ont vécu dans l'obscurité totale, privés de lumière et de vie, leurs journées réduites à des heures de faim et de soif.
Le Hamas a cherché à briser leur esprit par une terreur psychologique constante, confirme son frère Ofir. "Le Hamas a cherché à me faire oublier mon identité, ma famille, mon peuple. Mais je ne l'ai pas fait. J'ai senti que le peuple israélien et l'armée ne m'avaient pas oublié", explique-t-il.
Les otages ont été enchaînés, ils ont perdu la notion du temps et de l'espace, souffrant aujourd'hui des douleurs intérieures. Elkana Bohbot a été enchaîné, Avinathan Or a été détenu à l'isolement pendant deux ans sans information sur le monde extérieur. Et Gali et Ziv Berman, deux frères détenus séparément, ont été affamés par leurs geôliers.
Ces témoignages déchirants sont un appel au souvenir, un rappel de la brutalité qui a été commise dans les tunnels de Gaza. Ils sont une preuve que l'enfer est toujours réel, que les otages du Hamas ont vécu des moments inoubliables de terreur et de douleur.
Mais ils sont également un message de résilience, de courage et d'espoir. Car malgré tout ce qu'ils ont vécu, ils continuent à survivre, à se souvenir de leurs familles, de leurs amies et de leurs ennemis. Et c'est cela qui leur donne la force de continuer à vivre.
Les otages du Hamas sont les témoins silencieux d'un crime terrible, mais ils sont également des héros de la mémoire collective israélienne. Ils rappellent que l'enfer est toujours réel, mais qu'il n'est pas invincible.
Depuis lundi, des ex-otages du Hamas commencent à témoigner de leur expérience terribles dans les tunnels de Gaza. Là où ils ont été retenus pendant des mois, privés de liberté et de dignité, leurs récits dévoilent l'extrême brutalité subie.
Les souffrances physiques et psychologiques sont immenses. Matan Angrest, blessé à la main et aux doigts, a dû subir une opération sans anesthésie, ce qui a encore aggravé son état. Les otages ont vécu dans l'obscurité totale, privés de lumière et de vie, leurs journées réduites à des heures de faim et de soif.
Le Hamas a cherché à briser leur esprit par une terreur psychologique constante, confirme son frère Ofir. "Le Hamas a cherché à me faire oublier mon identité, ma famille, mon peuple. Mais je ne l'ai pas fait. J'ai senti que le peuple israélien et l'armée ne m'avaient pas oublié", explique-t-il.
Les otages ont été enchaînés, ils ont perdu la notion du temps et de l'espace, souffrant aujourd'hui des douleurs intérieures. Elkana Bohbot a été enchaîné, Avinathan Or a été détenu à l'isolement pendant deux ans sans information sur le monde extérieur. Et Gali et Ziv Berman, deux frères détenus séparément, ont été affamés par leurs geôliers.
Ces témoignages déchirants sont un appel au souvenir, un rappel de la brutalité qui a été commise dans les tunnels de Gaza. Ils sont une preuve que l'enfer est toujours réel, que les otages du Hamas ont vécu des moments inoubliables de terreur et de douleur.
Mais ils sont également un message de résilience, de courage et d'espoir. Car malgré tout ce qu'ils ont vécu, ils continuent à survivre, à se souvenir de leurs familles, de leurs amies et de leurs ennemis. Et c'est cela qui leur donne la force de continuer à vivre.
Les otages du Hamas sont les témoins silencieux d'un crime terrible, mais ils sont également des héros de la mémoire collective israélienne. Ils rappellent que l'enfer est toujours réel, mais qu'il n'est pas invincible.