PapoteurSolo
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Laffrontement diplomatique avec l'Iran semble encore loin pour Cécile Kohler et Jacques Paris, ces deux ressortissants français condamnés à 19 ans de prison. Le président Emmanuel Macron a annoncé leur libération sous caution et leur mise en liberté conditionnelle, mais sans préciser quand ils pourront revenir chez eux.
Depuis trois ans et demi d'incarcération, Cécile Kohler et Jacques Paris ont été maintenus en détention à la prison d'Evin de Téhéran. Cette décision a suscité une grande indignation dans l'opinion publique française. Les deux hommes étaient condamnés pour avoir "spéculé contre le régime iranien" et "s'opposaient activement à la politique étrangère de l'Iran".
Le dialogue se poursuit, selon Emmanuel Macron
Selon le président français, ce dialogue "se poursuit pour permettre leur retour en France le plus rapidement possible". Mais Cécile Kohler et Jacques Paris ne disposent pas d'une garantie de libération. Selon Jean-Noël Barrot, le ministre des Affaires étrangères, il faut "laisser travailler la diplomatie française" pour obtenir cette décision.
Cependant, les choses semblent encore très incertaines. Les deux ressortissants français ne savent pas s'ils seront autorisés à quitter l'Iran ou s'ils seront maintenus en détention.
Martin Pradel, leur avocat, a confirmé ce jeudi que "nous n'avons aucune garantie sur ce qu'il va se passer". L'ambassadeur de France en Iran, Pierre Cochard, a également souligné que "nous n'avons pas la certitude sur le moment où ça interviendra".
Un nouveau débat
La libération conditionnelle de Cécile Kohler et Jacques Paris est un sujet de débat très actif. Alors qu'une ressortissante iranienne, Mahdieh Esfandiari, a été remise en liberté sous contrôle judiciaire le 22 octobre dernier, les deux prisonniers français semblent encore coincés entre deux mondes.
Depuis trois ans et demi d'incarcération, Cécile Kohler et Jacques Paris ont été maintenus en détention à la prison d'Evin de Téhéran. Cette décision a suscité une grande indignation dans l'opinion publique française. Les deux hommes étaient condamnés pour avoir "spéculé contre le régime iranien" et "s'opposaient activement à la politique étrangère de l'Iran".
Le dialogue se poursuit, selon Emmanuel Macron
Selon le président français, ce dialogue "se poursuit pour permettre leur retour en France le plus rapidement possible". Mais Cécile Kohler et Jacques Paris ne disposent pas d'une garantie de libération. Selon Jean-Noël Barrot, le ministre des Affaires étrangères, il faut "laisser travailler la diplomatie française" pour obtenir cette décision.
Cependant, les choses semblent encore très incertaines. Les deux ressortissants français ne savent pas s'ils seront autorisés à quitter l'Iran ou s'ils seront maintenus en détention.
Martin Pradel, leur avocat, a confirmé ce jeudi que "nous n'avons aucune garantie sur ce qu'il va se passer". L'ambassadeur de France en Iran, Pierre Cochard, a également souligné que "nous n'avons pas la certitude sur le moment où ça interviendra".
Un nouveau débat
La libération conditionnelle de Cécile Kohler et Jacques Paris est un sujet de débat très actif. Alors qu'une ressortissante iranienne, Mahdieh Esfandiari, a été remise en liberté sous contrôle judiciaire le 22 octobre dernier, les deux prisonniers français semblent encore coincés entre deux mondes.