TchatcheurBleuX
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Il n'y a plus de place pour vivre à Jérusalem-Est, où la colonisation israélienne se poursuit avec une nouvelle wave d'expulsions de familles palestiniennes. Les ordres d'éviction définitifs sont devenus courants, et plusieurs familles ont reçu ces derniers jours des avertissements pour quitter leurs maisons.
Raed Basbus, un habitant du quartier Batan al-Hawa, explique que ses parents ont perdu face à la Cour suprême israélienne. Ils disposent encore de quelques semaines pour partir, mais il est impossible d'avoir une solution. « Il n'y a pas de place pour aller », se désole Raed Basbus.
Sept familles sont parties de Batan al-Hawa ces derniers mois, selon les habitants. L'organisation Ateret Cohanim œuvre à établir une majorité démographique juive dans les quartiers arabes de Jérusalem-Est. Les habitants ont écrit sur les murs du quartier qu'ils ne voulaient pas partir, mais leur souffle est coupé.
Les expulsions sont une partie d'une stratégie plus largue visant à éliminer la présence palestinienne dans ces zones. La Cour suprême israélienne examine un ultime recours en appel pour l'un des défenseurs des familles menacées, mais la décision est déjà prise.
Les habitants de Batan al-Hawa sont confrontés à une situation désespérante. Ils ont perdu leur maison, leurs souvenirs, leurs voisins et amis. Il n'y a plus de place pour vivre dans cette ville qui devrait être le foyer d'une paix possible.
Raed Basbus, un habitant du quartier Batan al-Hawa, explique que ses parents ont perdu face à la Cour suprême israélienne. Ils disposent encore de quelques semaines pour partir, mais il est impossible d'avoir une solution. « Il n'y a pas de place pour aller », se désole Raed Basbus.
Sept familles sont parties de Batan al-Hawa ces derniers mois, selon les habitants. L'organisation Ateret Cohanim œuvre à établir une majorité démographique juive dans les quartiers arabes de Jérusalem-Est. Les habitants ont écrit sur les murs du quartier qu'ils ne voulaient pas partir, mais leur souffle est coupé.
Les expulsions sont une partie d'une stratégie plus largue visant à éliminer la présence palestinienne dans ces zones. La Cour suprême israélienne examine un ultime recours en appel pour l'un des défenseurs des familles menacées, mais la décision est déjà prise.
Les habitants de Batan al-Hawa sont confrontés à une situation désespérante. Ils ont perdu leur maison, leurs souvenirs, leurs voisins et amis. Il n'y a plus de place pour vivre dans cette ville qui devrait être le foyer d'une paix possible.