Une délégation américaine menée par Steve Witkoff et accompagnée de Jared Kushner arrive ce mardi à Moscou pour tenter d'aboutir à un accord de paix en Ukraine. La situation reste tendue, avec plusieurs revendications russes qui semblent incompatibles avec la position de Kiev.
Les yeux du monde entier sont rivés sur la capitale russe, où les États-Unis affichent leur optimisme pour trouver un accord mettant fin à la guerre. Mais le Kremlin reste ferme, refusant certaines des conditions proposées par Washington. Les Russes insistent sur la maîtrise totale des deux oblasts : Donetsk et Lougansk, ce qui est inacceptable pour les Ukrainiens.
Les experts observent une rigidité russe qui ne craint pas Washington. "Il y a tout de même deux aspects que les Russes réfutent, c'est-à-dire la question territoriale", explique Vincent Crouzet, expert en renseignement. "Concernant Donetsk, c'est inacceptable pour les Ukrainiens. Et ensuite, il y a le problème des garanties de sécurité avec la présence de forces européennes sur le territoire ukrainien qui est inacceptable pour les Russes".
Le Kremlin reste favorable à engager des négociations de paix avec l'Ukraine, mais rappelle toutefois qu'il entend utiliser d'éventuels pourparlers pour atteindre ses objectifs militaires. Les États-Unis se disent très optimistes pour trouver un accord mettant fin à la guerre, malgré les résistances de la Russie.
Steve Witkoff, l'émissaire américain, doit rencontrer Vladimir Poutine, le président russe, ce qui est la sixième fois qu'il se rend en Russie cette année. La visite est suivie d'attention internationale, car elle pourrait être un tournant pour les négociations de paix en Ukraine.
Les conditions proposées par Washington sont très particulières et sans les alliés européens de Kiev. Mais les Russes restent sceptiques quant à la viabilité de ces discussions. La situation en Ukraine reste tendue, avec des violences continues sur le terrain. Les États-Unis doivent donc être prêts à prendre des mesures pour protéger leurs intérêts et ceux de leurs alliés.
Les yeux du monde entier sont rivés sur la capitale russe, où les États-Unis affichent leur optimisme pour trouver un accord mettant fin à la guerre. Mais le Kremlin reste ferme, refusant certaines des conditions proposées par Washington. Les Russes insistent sur la maîtrise totale des deux oblasts : Donetsk et Lougansk, ce qui est inacceptable pour les Ukrainiens.
Les experts observent une rigidité russe qui ne craint pas Washington. "Il y a tout de même deux aspects que les Russes réfutent, c'est-à-dire la question territoriale", explique Vincent Crouzet, expert en renseignement. "Concernant Donetsk, c'est inacceptable pour les Ukrainiens. Et ensuite, il y a le problème des garanties de sécurité avec la présence de forces européennes sur le territoire ukrainien qui est inacceptable pour les Russes".
Le Kremlin reste favorable à engager des négociations de paix avec l'Ukraine, mais rappelle toutefois qu'il entend utiliser d'éventuels pourparlers pour atteindre ses objectifs militaires. Les États-Unis se disent très optimistes pour trouver un accord mettant fin à la guerre, malgré les résistances de la Russie.
Steve Witkoff, l'émissaire américain, doit rencontrer Vladimir Poutine, le président russe, ce qui est la sixième fois qu'il se rend en Russie cette année. La visite est suivie d'attention internationale, car elle pourrait être un tournant pour les négociations de paix en Ukraine.
Les conditions proposées par Washington sont très particulières et sans les alliés européens de Kiev. Mais les Russes restent sceptiques quant à la viabilité de ces discussions. La situation en Ukraine reste tendue, avec des violences continues sur le terrain. Les États-Unis doivent donc être prêts à prendre des mesures pour protéger leurs intérêts et ceux de leurs alliés.